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 paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous)

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MessageSujet: paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous)   paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous) EmptyLun 3 Sep - 18:15


La porte. Ouvrir ou ne pas ouvrir ? Telle est la question du jour qui m'empêche de réfléchir. J'sais pas si je dois tenter ou pas du tout. Après tout, ça changera pas des habitudes, mais là, là, l'idée est tellement ... Tellement au niveau dessus que je pense qu'ils ne voudront pas me croire. Une idée, elle est venue comme ça, alors que je corrigeais des copies au petit matin. Une idée certes un peu dingue, et d'ailleurs, j'en ai parlé à Bran. Celui-ci a comment dire ? J'ai simplement pensé qu'il allait mourir sur place. Du coup, j'ai commencé à penser que c'était une mauvaise idée. Mais, petite voix qui parle trop, petite conscience qui tape sur le système vient maintenant m'embêter et me dire : bon sang tu vas le faire Alistair ? Qu'est-ce que tu risques de perdre de toute façon ? Oh, j'aurais bien pu répondre toute crédibilité. Pourtant, ce ne sera pas moi la victime. Non, non. Mes chers élèves adorés, vous allez en baver. Allez bon dieu, j'dois juste ouvrir cette fichue porte et annoncer la nouvelle du jour, la révélation qui fera pleurer petits et grands - moi ? En faire trop vous dites ? Si peu. Juste le mot de passe à murmurer, dire ou hurler et le tour sera joué. Bon dieu, qu'est-ce qui me prend de douter ? Pas possible, ce n'est pas Lovelace, ce n'est pas moi. J'inspire un instant, je place un vide dans ma pauvre tête et le mot de passe me vient naturellement. Salle commune des Poufsouffles, me voici, me voilà. Sauf que, il n'y a personne. Le vide, mais complet de chez complet. Même pas un gloussement, même pas des paroles. Je roule des yeux, croise mes bras sur mon torse. Je pourrais faire simple, les tirer du lit par la peau des fesses - mais, idée à ne pas mettre en action, je ne voudrais pas me prendre les foudres de mes élèves dans la figure, ça peut faire franchement mal. « POUFSOUFFLES ! RAMENEZ VOUS. » Oh bien, peut-être que ma voix portante n'aura pas d'effet. Parce que des jeunes qui dorment, c'est ... Oui, enfin j'éviterais de faire des commentaires. J'attends un instant, zieute gentiment. Ah, en voilà une qui pointe le bout de son nez, à moitié dans les vapes et en pyjama - parfait. Puis, un autre, encore un autre. Un petit peuple de jaunes au rapport pour le chef Alistair, si c'est pas génial ? Faut croire qu'il n'y a pas que des mauvais côtés à être professeur dans cette école. Sourire aux lèvres, je me met à les détailler en vitesse, tous. Une est en rose, l'autre a des dessins de crocodiles, adorables n'est-il pas ? « Vous êtes superbes en pyjamas. Et d'ailleurs en parlant de pyjamas, pas besoin de se changer aujourd'hui, c'est vrai quoi, vous viendrez à mon cours vêtu de cette façon. D'accord ? Bon, coiffez-vous un peu quand même, histoire de ressembler à quelque chose d'à peu près normal. » Ils me regardent, perplexes. Bien évidemment,fallait s'en douter, ils ne veulent pas me croire. Comme je pensais, c'est pire que d'habitude, là, c'est excessif, mais l'idée est ... Elle est dans ma tête, ne veut pas se barrer, alors du coup, je dois la faire, sinon je passerais des nuits à rêvasser d'un cours comme celui-ci - n'allez pas croire que c'est obsessionnel non plus hein. Une se met à rire, et là j'ajoute, regard accusateur. « Et non, non, ce n'est pas une blague. C'est pire que sérieux. » De l'étonnement, de l'amusement, un peu de tout je pense. Après tout, un Poufsouffle n'a honte de rien - du moins, pour la plupart, après concernant les timides chroniques, je ne peux rien faire pour eux. Mais, là, sur ce coup, ce n'est pas une question, c'est une obligation pure et dure. EN PYJAMAS MES TROUPES. Ils discutent entre eux pendant que moi je rebrousse chemin - habillé comme d'habitude, manquerait plus que moi aussi je me mêle à cet amusement. Oh j'en serais capable, mais, je risquerais de perdre vraiment ma crédibilité aux yeux des professeurs - et j'y tiens un minimum. Déjà que j'ai droit à cette étiquette du professeur pas très sérieux durant ses cours, je vais tenter d'éviter au mieux de m'enfoncer encore plus dans le trou. Mes pas me mènent vers ma salle de la classe, je m'assoie alors tranquillement sur mon bureau. Les jambes dans le vide - oui oui, certains c'est les chaises, moi c'est les tables, me demandez même pas pourquoi. Il ne reste plus que la vicieuse et tombante attente. Peut-être que certains vont se changer et venir dans un pyjama bien pire que le précédent ? Ils sont capables de tout quand ils le veulent, surtout en ce qui concerne d'attirer l'attention. Si ça se trouve, nous pourrons faire le concours de celui qui a plus beau et coloré pyjama. Intéressant comme cours, trouvez pas ?


Dernière édition par Alistair T. Lovelace le Lun 3 Sep - 21:51, édité 1 fois
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D. Franky Ariel Hemingway

D. Franky Ariel Hemingway

YELLOW QUEEN ▽ admin

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MessageSujet: Re: paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous)   paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous) EmptyLun 3 Sep - 19:12


il en faut peu pour être heureux,

vraiment très peu pour être heureux !



Du chocolat, partout, EVERYWHERE, et puis encore du chocolat, et des cookies, et des muffins et du thé, et mon dieu, serait-ce Eva Green que je vois là ? Mais oui, c'est bien ça, recouverte de chocolat, et elle ouvre la bouche... « POUFSOUFFLES ! RAMENEZ VOUS. » ooooooooookay, le pire cauchemars de tout les temps, la meuf de tes rêves qui parle avec la voix de ton directeur de maison et professeur de métamorphose, je dis non ! Et pourtant c'est la triste vérité, mais je sens qu'on tire sur ma couette alors je me réveille en sursaut et en plus en grognant, j'ai les cheveux qui partent dans tout les sens on dirait un épouvantard quoi steuhplait. Alors je descends, la tête pas sur les épaules mais plus bas et dans un endroit plus sombre. Voilà, je commence ma journée du mauvais pied, je vais sûrement étriper quelqu'un. Le pire dans tout ça c'est que je trouve encore la force de courir jusqu'à un fauteuil et de pousser une meuf avant qu'elle s'assoit pour me laisser tomber dessus. Affalée, j'ai juste envie de mourir, j'aimerais savoir ce qu'il lui prend à Prince Ali pour nous bouger tellement tôt en dehors de nos lits, on avait au moins vingt minutes de sommeil en plus normalement. Je veux mourir, c'est décidé. « Vous êtes superbes en pyjamas. Et d'ailleurs en parlant de pyjamas, pas besoin de se changer aujourd'hui, c'est vrai quoi, vous viendrez à mon cours vêtu de cette façon. D'accord ? Bon, coiffez-vous un peu quand même, histoire de ressembler à quelque chose d'à peu près normal. » J'ai presque l'impression qu'il me vise directement quand il me dit ça et... et WAIT A MINUTE ! Un cours en pyjama ? Mais oh my god quoi, c'est genre le jour le plus merveilleux du monde. Je me redresse dans mon fauteuil et j'ai envie de pleurer de joie. Le professeur de métamorphose est barré, il a souvent des idées comme ça, genre c'est le fuque dans sa salle de cours et il s'en fou, alors c'est trop cool. Rien qu'à imaginer la gueule des Serdaigles coincés du cul, j'ai envie de rire. Lucie va être deg' de pas pouvoir faire pareil quand je vais lui raconter, je suis sûre. Il me faut que quelques secondes pour capter Gregory qui arrive à mes côtés et on se tape dans la main ni vu, ni connu, le tcheck de la mort genre on va tous leur faire peur. Comment ils vont être trop jaloux Phoenix et Rudy, j'suis trop impatiente. Ils vont être tellement dégoûté j'ai trop hâte de voir leurs têtes, et Gregory doit se dire exactement la même chose parce que je reconnais son sourire à mille mètres quoi. J'ai presque envie de lui sauter dessus et de lui faire un bisou de contentement, mais j'ai trop la flemme de sortir de là. « Et non, non, ce n'est pas une blague. C'est pire que sérieux. » « Vous auriez pu envoyé un hiboux hier soir. » Je vois le regard des gens et je lève les yeux au ciel. MERDE JE REVAIS D'EVA GREEN QUOI. Et si j'avais su j'aurais décalé mon réveil et me serait levé cinq minutes avant le début du cours quoi.
Je remonte dans le dortoir et regarde mon pyjama qui fait pas vraiment pyjama, en plus je suis à moitié à poil donc bon, on va faire original : on va sortir le pyjama d'hiver. Je retire mon t-shirt XXL, l'envoie valser dans un coin et enfile mon... pyjama dinosaure. Oui, je dors vraiment comme ça en hiver, cherche pas tu peux vraiment pas test mon swag de ouf. Direction la salle de bain, genre je me coiffe vite fait et puis je met la tête de dragon sur la tête avant de me brosser les dents, de mettre ma baguette dans la poche avant de mon pyjama et hope, direction la salle de métamorphose. En chemin je croise Gregory et fait semblant de lui manger un bras avant de rire un peu. « J'espères que t'as chopé le turban et tout ça, parce que moi aujourd'hui je chante. » C'est la fête, vous comprenez, et je vais m'en donner à cœur joie. Sans attendre, je prends la direction de la salle de métamorphose en chantonnant une vieille chanson dans Aladdin avec Gregou. Genre, je suis ton meilleur ami ou quelque chose dans ce style là. Papapa, ça va être une excellente journée. Et voilà, on arrive dans la salle et on casse tout tellement notre dégaine est trop cool. Y a déjà des Sedaigles, sages érudits, qui squattent les bancs et qui manquent de faire une crise cardiaque à notre vue. Un grand sourire s'étale sur mes lèvres alors que j'attrape mon meilleur ami par le bras et fait une révérence devant le Professeur Lovelace. « Bien le bonjour, Prince Ali. » Un sourire colgate et on va se prendre une place. Je crois bien que le cours de métamorphose c'est le seul qui nous fait vraiment kiffer, genre assis tout au fond et genre en train de chanter et tout, c'est juste énormément cool, on vend du rêve à tout le monde. Sauf les certaines personnes qui sifflent pour nous intimer de nous taire. Mais ils sont sérieux ? Steuhplait, moi et mes potos Poufsouffles ont démontent tout, et si t'as un problème tu vas pas faire chier Godzilla aujourd'hui.
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MessageSujet: Re: paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous)   paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous) EmptyLun 3 Sep - 21:44


Ce rêve bleu,

Je n'y crois pas c'est merveilleux !






    Ouaich. Pourquoi il y a des petits poneys arc en ciel qui courent partout autour de moi dans un champ de coquelicots ? Et bordelou. Les coquelicots ce n’est pas censé être rouges ? Pourquoi ils sont multicolores ? Oh meeerde. Je ne serais pas devenu un bisounours par hasard ? Bon Dieu, bon Dieu. Faîtes au moins que je ne sois pas un Teletubbies. Parce que les Teletubbies ça craint et puis ça fait peur. Enfin non, Po il est mignon. C’est le seul Teletubbies qui gère. Ah non, je n’en suis pas un. Heureusement. Enfin, faudrait que quelqu’un m’explique un peu ce foutoir parce que je comprends vraiment que dalle. Oh non, pitié ! Pas un ornithorynque s’il vous plait. Il me ramène ma peluche qui est resté chez moi, et après je vais faire des cauchemars en imaginant mon doudou prendre vie. J’ai trop peur. Que quelqu’un vienne me sauver, par pitié ! L’atomiser, l’atomiser, l’atomiser. Les ornithorynques c’est le mal. Il ne faut pas qu’ils vivent. Oh merde, il ressemble plus à un chat écrasé maintenant… Putain ! Est-ce que je viens de commettre un génocide là ? Suis-je un scélérat comme Hitler ? Ou juste un petit polisson ? Faut que je me sauve de cet endroit chelou qui me fait devenir fou. C’est bien trop le fuque ici. J’arrive pratiquement pas à respirer. Des licornes roses m’entourent. Pitié qu’elles n’aient pas l’idée de me violer. Je suis homosexuel, gay, un PD, une tapette, une tarlouze. Tout ce que vous voulez mais pas un zoophile ! Je vous en supplie. Je suis désolé d’avoir tué tous les ornithorynques, mais ils me font tellement peur ! Ne me faîtes pas manger une tarte au pigeon ! C’est mignon les pigeons. Si vous le voulez pour me faire pardonner je mangerai un bout de tentacule de pitiponk. Le truc dégueulasse que Professeur Moriarty nous a montré hier en cours de potion. S’il vous plaaaait ! Je suis tellement désoléééé.

    « POUFSOUFFLES ! RAMENEZ VOUS. » « BRINDEZINGUE ! J’ai rien fait, ce n’est pas moi, ne me mangez paaaas. » Le jeune homme sursauta littéralement en dehors de son lit, atterrissant le cul ainsi que tout son corps par terre. En sueur, et vraiment pas réveillé encore, il baragouinait des choses totalement incompréhensibles sur les ornithorynques multicolores qui voulaient le violer, avec leurs gardes du corps les licornes roses. Enfin bref. Encore un délire à la Hamish. Et c’est sûrement pour cela que personne dans le dortoir ne prêta attention à lui. Bon, entre-nous, le fait que le professeur de métamorphose, et qui plus est le Directeur de leur maison noir et jaune venait de gueuler comme un ogre affamé dans leur salle commune les réveillant tous d’un coup. C’était sûr qu’il ne venait pas d’utiliser un sort amplificateur ou il ne savait trop quoi là ? Quelle voix tonitruante… Il n’osait pas imaginer ce que cela devait donner au lit. Ah non. Il n’était pas encore bien réveillé pour penser à ce genre de choses. Surtout qu’il était trois fois plus vieux que lui. Enfin deux fois. Et en couple. D’après ce qu’il avait compris. Et puis que c’était son professeur. Et qu’il était ultra sexy. Ah ouais mais c’était son père spirituel, donc ça fait genre un peu incestueux. Ouais mais ce n’est pas son vrai père. Oh et puis merde. Il se gifla mentalement pour arrêter de penser de telles sottises, considérant plutôt à se relever parce que mine de rien, malgré son pyjama Roi Lion, le sol était vraiment plutôt méga froid. Il s’appuya sur son lit et sa table de chevet, s’élevant grâce à la force de ses bras, mais la petite table bascula et il se crouta une nouvelle fois, le contenu des tiroirs et les objets déposés sur la table lui tombant sur le haut du crâne. « Aie. »

    Voir toute la petite communauté des Poufsouffles à moitié endormie – si ce n’était plus – toute ébouriffée et en pyjama réunie dans la salle commune avec leur Directeur parfaitement en forme était particulièrement hilarant. S’il avait été plus réactif, et surtout s’il avait eu le droit d’utiliser des appareils moldus, Hamish aurait accouru dans son dortoir, pour y sortir son téléphone portable et prendre la scène en photo pour l’immortaliser. Mais sérieux, là il était tellement fatigué que l’idée ne lui serait même pas monté à l’esprit. À son cerveau encore bien embrumé. « Vous êtes superbes en pyjamas. Et d'ailleurs en parlant de pyjamas, pas besoin de se changer aujourd'hui, c'est vrai quoi, vous viendrez à mon cours vêtu de cette façon. D'accord ? Bon, coiffez-vous un peu quand même, histoire de ressembler à quelque chose d'à peu près normal. » Haha. Non. La blague. Il ne pouvait pas être sérieux. Si ? Euh… Papa spirituel. T’es entrain de foutre quoi là ? Un cours en pyjama… C’est genre une tradition à Poudlard ? Ou dans le monde des sorciers ? Faudrait peut-être que je propose cela dans ma future université moldue ! Si j’y retourne un jour… Haha. Je suis sûr que je serai jeté. Quoiqu’on trouve toujours des raisons au final de me virer. D’ailleurs je comprends pas pourquoi le Dirlo ne m’a pas déjà renvoyé de Poudlard. Il sait bien pourtant que c’est moi qui ai explosé les dortoirs des Serpentards non ? Enfin c’était l’idée de Franky, mais quand même… Ah ouais, mais peut-être que Alistair nous avait couverts au final ! Ouais ouais, le même mec qui nous demande venir à son cours en pyjama. Et merde. Hamish ne le regardait même pas bouche bée, encore dans le pays des rêves parmi les poneys arc en ciel. Il observait juste passivement la scène, tout le monde complètement ahuri, la plupart ne comprenant pas du tout ce qu’il venait de se prendre en pleine face. Il est bizarre quand même ce professeur parfois. Quoique l’autre professeur Lovelace, et professeur Moriarty soient pas mal dans leur genre également. Ils étaient gâtés. Mais dans le bon sens ! « Et non, non, ce n'est pas une blague. C'est pire que sérieux. » Ah non. Il est sérieux ce con. « Vous auriez pu envoyé un hiboux hier soir. » Hamish se retourna tout doucement, quasiment au ralenti, vers Franky qui se trouvait pile à sa droite, suite à son commentaire. Elle avait l’air agacé. Mais pas par Alistair en lui-même. De toute manière elle l’aimait beaucoup trop pour cela. Le blondinet sourit. Il savait exactement de quoi elle rêvait.

    Dans les couloirs, c’était vraiment comique. Le petit troupeau de Poufsouffles qui se déplaçait d’un même pied, tous en pyjama et totalement pas réveillé. Il fallait dire que tout cela s’était passé bien rapidement, et le professeur Lovelace n’était pas le plus doux des réveils. Hamish, toujours en pyjama Roi Lion et coiffé de la même manière qu’à sa chute du lit – faut dire que ce n’était pas dans ses habitudes de se coiffer, juste de se faire une teinture quand l’autre arrivait à son terme – était bien plus alerte que tout à l’heure. C’était drôle, mais lorsqu’il se réveillait, il était comme un zombie, on pouvait lui faire tout ce que l’on voulait. Mais il se réveillait d’un coup ensuite, en l’espace de quelques secondes il redevenait complètement excité. « J'espères que t'as chopé le turban et tout ça, parce que moi aujourd'hui je chante. » Il aperçut du coin de l’œil Franky et Gregory devant lui, et trottinant comme un de ces poneys de son rêve, il leur sauta au cou en leur faisant des gros bisous, mais chastes, de bonjour. « J’ai entendu chanter ? On se prépare à chanter Prince Ali, c’est ça ! Mais c’est genre une tradition sorcière que de faire cours en pyjama ? » Bon oui. Naïf mais pas con. En entendant sa meilleure amie, il avait très bien compris qu’elle prévoyait de chanter la fameuse chanson de Disney qui faisait référence au surnom du professeur Lovelace donné par quelques petits chenapans d’élèves. Ce n’était pas bien méchamment. Peut-être fouteur de merde, mais tant qu’ils ne dansaient pas tous la carioca en plein cours. Et il continua sa route en compagnie de ses deux amis jaunes – en mode canari t’sais – sifflotant la chanson du slogan carglass répare, carglasse remplace qu’il avait dans la tête. Il rentra dans la salle, passant tout près du beau professeur, et il lui sourit en lançant innocemment, mais pas trop fort pour que les autres n’entendent pas : « Bonjour Papa ! » Bon bien sûr ce n’était pas son vrai père, mais les deux se ressemblaient énormément, et inconsciemment il était devenu son père spirituel. Plus qu’un mentor, un repère pour lui, jeune homme encore totalement un enfant qui n’avait jamais connu vraiment de figure paternelle, sans omettre maternelle. Mais cela c’est une autre histoire, dont on va éviter d’en parler maintenant pour ne pas foutre le moral à zéro de Hamish qui était de bien bonne humeur. Il alla s’installer, toujours en sifflotant cet air débile, dans le fond de la classe, juste devant Franky et Gregory, pour pouvoir discuter avec eux en se balançant sur les pieds arrières de sa chaise, quand le professeur leur tourner le dos. Bien que le cours n’avait pas encore commencé. Mais il avait tout prévu ! Héhé, c’est qu’il était intelligent parfois, le petit Hamish. Bon, d’accord. Je ne sais pas si on pouvait vraiment appeler cela de l’intelligence, mais parfois il avait des moments de lucidités. Dans tous les cas, il attendait impatiemment que le cours commence. Comme à chaque fois, mais là il était encore plus curieux, vu que tous les Poufsouffles étaient en pyjama. Mais les autres ?
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MessageSujet: Re: paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous)   paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous) EmptyMar 4 Sep - 20:56

    «POUFSOUFFLES ! RAMENEZ VOUS. » «BRINDEZINGUE ! J’ai rien fait, ce n’est pas moi, ne me mangez paaaas. » Gregory grommella, entrouvrant ses paupières pour voir qui d’Hamish et du professeur de métamorphose il pouvait tuer sans bouger de son lit. Autour de lui, tous les autres membres du dortoir des Poussoufles étaient dans le même état, aucun d’entre eux n’ayant apprécié le réveil trop matinal de leur directeur de maison. Il s’extirpa avec peine de son lit, ne daignant même pas enfiler un pyjama autre que son caleçon gris, et parvint à descendre dans la salle commune sans devoir trop s’accrocher à la balustrade. Devant lui, un attroupement d’élèves grognons, dont il reconnaissait quelques visages et, au centre, un adulte bien trop guilleret pour son propre bien. Si Prince Ali n’avait pas été autant aimé par sa maison, il serait sans doute déjà suspendu au plafond pendant que les élèves retournaient se coucher, bien décidé à ne pas se réveiller avant midi. «Vous êtes superbes en pyjamas. » Merci, je sais. « Et d'ailleurs en parlant de pyjamas, pas besoin de se changer aujourd'hui, c'est vrai quoi, vous viendrez à mon cours vêtu de cette façon. D'accord ? Bon, coiffez-vous un peu quand même, histoire de ressembler à quelque chose d'à peu près normal. Et non, non, ce n'est pas une blague. C'est pire que sérieux. » Quoi ? Pas de vêtements ? Pas de toilette du matin ? En quoi il consistait exactement, ce cours ? Bon, bah si c’est le Prince Ali qui leur ordonnait, il allait se faire un plaisir de l’obéir. A cet instant, Gregory arriva finalement au niveau de Franky, qui lui fit un tcheck discret pour confirmer que leur plan était toujours opé’. Aujourd’hui, les Poussoufles allaient mettre des étoiles dans les yeux de tous les élèves de Poudlard, oh yeah baby. Ça allait être une de ces journées dont on parlerait encore dans vingt ans, en disant « Eh vous avez entendu parlé de la fois où… », et tous les élèves qui soupiraient parce qu’ils auraient trop kiffés être là, ou mieux, faire partie des noms qu’on murmure avec respect et adoration. Franky et Greg, les nouvelles rockstars de Hogwarts, tu peux pas plus swagg. Rudy et Phoenix allaient rager comme pas permis lorsqu’ils sauraient qu’ils avaient été exclus du coup, mais bon, c’était une affaire de Blaireaux : pas de place pour les étrangers, aussi aimés soient-ils.

    Le professeur Lovelace ayant finalement quitté la salle commune, Gregory remonta lentement jusqu’à son dortoir, s’interrogeant quant à la possibilité de repiquer du nez avant que son réveil ne sonne. Malheureusement, l’appareil infernal se mit en marche deux minutes plus tard, et il dut abandonner tout espoir de retourner aux pays des songes. Groumf quoi. Le blond se releva donc avec un soupir, et se dirigea brièvement vers sa commode, avant de se raviser : le professeur avait dit pyjama, il n’allait tout de même pas rater cette occasion. Il faillit tout de même enfiler un marcel, pour faire son timide, mais au final, être simplement en calbut’ ce serait encore plus stylé, ça ferait comme le génie dans Aladdin. Or justement, au menu du jour : Disney-philie ! Passant une main dans ses boucles blondes pour faire genre il s’était coiffé, le jeune homme sortit de la salle commune juste à temps pour choper un pain au chocolat ou cinq dans la salle commune, et descendre ses trois tasses de thé matinales. Aaaah, voilà qui était mieux. Remontant rapidement dans la Salle Commune pour choper son sac, il rencontra Franky qui sortait à son tour, soudainement plus habillée qu’elle ne l’était encore il y avait une demie-heure. « Il est très suggestif ton pyjama, Frankouche, j’en suis tout émoustillé. » Les dinosaures, un aphrodisiaque bien connu. Pour toute réponse, la Poussoufle fit mine de vouloir le manger, s’étant sans doute prise pour un T-Rex. « J'espères que t'as chopé le turban et tout ça, parce que moi aujourd'hui je chante. » dit-elle tandis qu’il lui rendait la pareille, lui mâchonnant affectueusement l’épaule gauche. « Of course darling, je n’attends que ça ! » Ce disant, il ouvrit son sac, lui laissant entrevoir le turban et le sac de paillettes dorées qu’il cachait sous le manuel de métamorphose. «J’ai entendu chanter ? On se prépare à chanter Prince Ali, c’est ça ! Mais c’est genre une tradition sorcière que de faire cours en pyjama ? » Et voilà la pile électrique qui leur sautait dessus pour les couvrir de baisers ; visiblement, ils avaient un nouveau choriste dans leur petit groupe, et tant mieux : plus on est de fous plus on rit, à c’qui paraît, et là le principe restait avant tout de s’amuser, au risque de se faire punir. Riant, ils arrivèrent enfin devant la porte d’entrée de la salle de métamorphose, sous laquelle ils passèrent comme des fleurs. « Bien le bonjour, Prince Ali. » En l’entendant, Gregory eu du mal à ne pas sourire, mais il se retint ; ce n’était pas le moment de tout faire capoter juste parce que Franky était drôle. Alors avec un sérieux imparable, il passa à son tour devant le professeur, tout juste vêtu de son caleçon et d’une paire de chaussons-babouches qu’il avait dénichées pour l’occasion. Eh oui, il ne faisait pas les choses à moitié : c’était tout juste s’il ne s’était pas peint en bleu et fait pousser la barbe, pour faire plus réaliste. Mais passons : tandis que sa camarade se dirigeait vers le fond de la salle, où se trouvaient leurs places habituelles, lui-même s’était discrètement posté tout devant, espérant ne pas s’attirer plus qu’un regard surpris pas sa brusque marque d’intérêt pour ses études. Tandis qu’il gribouillait sur un parchemin avec sa plume – parce que les stylos-plumes et les BIC c’est trop high-tech pour Poudlard, tsé – la salle commençait à se remplir, offrant un véritable défilé des diverses possibilités de vêtements de nuits, allant du pyjama de luxe en satin jusqu’au vieux T-shirt déchiré de partout qu’on a la flemme de jeter. Finalement, le dernier retardataire passa le pas de la porte, qui se referma toute seule d’un claquement qui fit tressaillir les nerfs déjà tendus du blondinet. C’était plus fort que lui, il avait beau avoir l’habitude, avant chaque représentation il était quand même terrifié.

    Et là, soudainement, d’une voix s’éleva, forte et confiante, du fond de la salle : « Faites plaaaaaaaace, au Priiiince Aliiii ! Quelle grâââââââce, le Priiiince Aliiiiii ! » Ils s’étaient mis d’accord pour que Franky commence, afin que le brouhaha créé permette à Greg de sortir de sa chaise et de venir se placer derrière le bureau du professeur, bien aux premières loges pour leur numéro. Avant que le « prince » ne puisse réagir, il avait posé ses mains sur ses épaules, le maintenant fermement sur son siège, et chantait ses louanges à la salle d’élèves décidément bien perturbés : « Bande de veinards, dégagez le bazar ! Et vous allez voir, c' que vous allez voir ! Venez applaudir, acclamer la Superstar ! Fêtez ce grand jour, clochettes et tambours, venez adorer l'idole ! Prince Aliiii, Sa Seigneuriiiiiiiie, Ali Ababouaaaaaaaaa. » Ayant lâché les épaules du professeur, le voilà qui se mettait à se promener dans la salle, rejoint par Franky et Hamish pour danser le cancan ou la danse du ventre, ils ne savaient pas très bien. Et puis, recommencer la chanson avec toujours autant d’entrain, en frappant des mains pour que la salle se prenne au jeu et ne commence à chanter avec eux s’ils connaissaient les paroles : « A genoux, prosternez-vous, soyez ravis ! Pas de panique, on se calme ! Criez vive Ali, Salam ! Venez voir le plus beau spectacle d'Arabiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ! » Et une pirouette, une. L’instant d’après, Lovelace se retrouvait avec un turban sur la tête tandis que le nouveau sorcier le couvrait allègrement de paillettes, attendant à nouveau son tour tandis qu’Hamish et Franky s’emparaient à leur tour de la scène. Et puis un coup de glitter pour eux deux aussi, tiens, et un coup pour la salle en délire aussi !
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MessageSujet: Re: paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous)   paja...paja...PAJAWHAT ? ou, premier cours de métamorphose. (ouvert à tous) EmptyMar 4 Sep - 22:34


Est fou celui qui se prétend être sage.






    Qui a déjà osé prétendre que Poudlard était un lycée de tortionnaires ? Qui a déjà courageusement avancé que Hogwart avait eu des heures particulièrement sombres et qu’aujourd’hui c’était resté une école de renommée parce qu’elle était stricte ? Conneriiiies ! Comment voulez-vous au juste qu’elle soit sévère si les professeurs étaient aussi barrés que leurs élèves, voire plus ? Puis ils arrivaient même à corrompre les quelques sains qu’ils pouvaient rester. Et oui, les chats ne font pas des chiens. Ou alors les chiens ne font pas des chats. Je ne me souviens plus très bien. Mais on s’en fout un peu. Alors ta gueule. Merci bien. Bref. S’il y avait certains élèves qui couchaient ensemble – pour ne pas dire avec tout le monde… non non, je ne pense à personne, et surtout pas à Phoenix – pourquoi cela aurait été-t-il différent pour les professeurs ? Garrett et Alistair avaient passé la nuit ensemble, et je vous passerai les détails même si vous bavez d’avance en imaginant toute la scène bande de petits pervers, mais vous voyez donc très bien ce qu’il y avait pu se passer. Pour la petite précision, cela s’était passé dans le lit du professeur de métamorphose. Donc vous pouvez l’étonnement de l’autre professeur lorsqu’il se réveilla en sentant un vide à ses côtés. Il arrivait que l’autre retourne dans son lit au beau milieu de la nuit, bien que cela arrivait de moins en moins ces derniers temps, comme si leur relation devenait de plus en plus sérieux vous savez… Mais Moriarty avait du mal à croire que son amant était parti au milieu de la nuit – quoique c’était plutôt le petit matin vu quand leurs ébats avaient pris fin – pour aller dormir dans le lit tranquille de son partenaire. Surtout que c’était lui en général qui aimait bien ces moments après l’amour, à se blottir dans ses bras. Si au début cela l’avait fait fuir, ce côté ultra tactile, à présent il trouvait cela hyper rassurant, et s’il ne recevait pas de câlin de son prince pendant quelques jours, il sentait une sorte de manque. Oui, il ne pouvait plus se voiler la face. Il était entrain de tomber amoureux. Amoureux du cousin de son ex fiancé, quelle connerie ! Et le directeur de l’autre mec dont il était fou amoureux. What the fuque was wrong with him ? Et même là, il ne se sentait peut-être pas inquiet, mais préoccupé par le fait qu’il ne trouvait pas l’homme aux yeux de chat dans ses bras. Il jeta un coup d’œil au réveil, pensant au hasard qu’il était peut-être plus tard qu’il ne le pensait, mais même pas. Il était ultra tôt. Il grogna et se roula pour sortir du lit. Une chute. Brutale. Et il gémit en atterrissant par terre. Au moins c’était efficace. Il se traîna en mode opération commando sur la table basse du salon – oui il était sorti de la chambre en rampant – où il savait Ali laissait parfois des notes sur ses prochains cours. C’était seulement sa meilleure piste. Dans un effort surhumain, il fit tomber, ou voler cela dépend du point de vue, les feuilles brouillonnes qui s’y trouvaient jusqu’à lui. Il ne put s’empêcher d’écarquiller les yeux en y voyant ce que le professeur avait préparé à ses élèves.

    La porte de la classe de métamorphose venait de se fermer définitivement, après le que le dernier retardataire soit rentré au pas de course pour se faufiler dans un coin de la classe pour qu’on l’oublie le plus vite possible. Le professeur Lovelace – comment que ça fait trop genre officiel de l’appeler comme cela – débutait son cours en racontent des choses et d’autres – que Hamish ne retenait pas car il était plus préoccupé à attendre impatiemment que Franky commence à chanter, car c’était ce qui était convenu – et d’un coup sa voix retentit derrière lui. « Faites plaaaaaaaace, au Priiiince Aliiii ! Quelle grâââââââce, le Priiiince Aliiiiii ! » Et comme si c’était le signal – en fait oui c’était le signal – Hamish rebondit sur ses jambes très souples. Il hésita à monter sur la table, et finalement opta pour la chaise, alors que Franky l’agrippait par le coup pour on ne savait trop quoi. Puis alors que Gregory se plaçait derrière le professeur pour le planter sur sa chaise, discrètement grâce au remue ménage que Hemingway venait de créer, et qu’il chantait de sa magnifique voix les autres couplets, Hamish avec son amie chantaient avec lui, faisant les deuxième voix, les voix du fond. Genre la mélodie quoi. « Bande de veinards, dégagez le bazar ! Et vous allez voir, c' que vous allez voir ! Venez applaudir, acclamer la Superstar ! Fêtez ce grand jour, clochettes et tambours, venez adorer l'idole ! Prince Aliiii, Sa Seigneuriiiiiiiie, Ali Ababouaaaaaaaaa. » À ce moment là, Franky agrippa encore plus fort Hamish, le tirant littéralement vers elle, de sorte qu’il faillit se casser royalement la gueule de sa chaise, et le prit par les épaules pour commencer une sorte de french cancan, ou danse traditionnelle écossaise mélangée à une danse du ventre orientale, autour de la classe, Gregory se joignant à eux. Ils étaient beau comme cela. « A genoux, prosternez-vous, soyez ravis ! Pas de panique, on se calme ! Criez vive Ali, Salam ! Venez voir le plus beau spectacle d'Arabiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie ! » Une pirouette de la part de Gregory, qui mit d’un geste habile le ruban autour de la tête du fameux Prince Ali – qui ne savait pas du tout comment réagir, ne s’attendant sûrement pas à ce qu’il venait de se produire – des paillettes tombant du ciel – ou de la main de l’ainé noir et jaune plutôt – sur sa pauvre petite tête cachée par le ruban. Hamish et Franky faisaient toujours le tour de la salle, continuant la chanson sans jamais s’arrêter. « Prince Aliiiiiiii, plus fort que luiiiiii, je ne connais paaaas. Qui vous porte d’Abu Dhabi, à bout de braaaas. Il a vaincu une armée, tout seul avec son épée. La terreur des ennemis c’est Prince Aliiiiiiiiiiiii. » Se tournant vers Franky, et lui prenant la main en mode théâtre, il fit le petit dialogue en sa compagnie. « I a cent trois chameux et chamelles… » « Ne sont-ils pas mignons, Simone ? » « Des caravanes de paons, dix par van. » « Tout à fait Thierry, j’adore leur pull. »

    La porte s’ouvrit à la volée à ce moment là. Hamish se figea sur place, ne s’attendant pas trop à quoi s’attendre. Et qu’elle ne fut pas sa surprise en voyant apparaître Garrett Moriarty, le professeur de potions, directeur des Gryffondors, et amant bien connu de tous du fameux et pauvre Prince Ali. Celui-ci était vêtu seulement et uniquement d’un caleçon. Un peu comme Gregory d’ailleurs, qui fit une tête bizarre en le voyant ainsi, mais cela Hamish n’en vit rien, et Garrett ignora ce fait délibérément. Mais ce n’était pas tout, en plus d’être magnifiquement bien foutu – surtout qu’il ne fallait pas oublié qu’il avait quasiment quarante ans, et il devait faire attention à sa ligne donc, mais bon on s’en fout un peu pour le moment – et bien il avait trois quatre suçons tout frais au niveau du torse – des tétons haha – et des cuisses. Et il n’avait aucune honte, aucune gêne de ne même pas essayer de se cacher. Comprenant tout de suite ce qu’il se passait, il sauta sur le bureau et se mit lui-même à chanter. Il ne fallait pas oublier qu’il était le Président de la Chorale, diante, et que les répétitions imprévues, cela le connaissait fortement ! Il sauta agilement sur le bureau, et s’élança lui aussi, comme ses élèves adorés. « Des goriiiiiiilles, qu’ils protègent de leurs aileeeees. Ce zoo est un souk, corne de bouc ! C’est une super ménageriiiiiiie. Prince Aliiiiii, oui c’est bien luiiiiii, Ali Ababoua ! » Il sauta à terre, se tourna vers son amant et planta son regard dans le sien après avoir relevé le ruban. « Quel physiiiiiique, c’est magnifiiiiiique. Il est charmaaaaant. » Il ponctua sa phrase en lui donnant un chaste baiser sur les lèvres. « Il y a du monde au balcon. Moi j’ai du poil au menton. Et tout le monde s’évanouiiiiit, pour Prince Aliiiiiii. » Et d’une manière pas surprenante du tout, il tomba dans les bras du professeur complètement décontenancé, feignant un malaise, pour imager la chanson.
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