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 Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.

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Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. Empty
MessageSujet: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. EmptySam 8 Déc - 21:37


feat Aaron Johnson, Tumblr
Isaak Vadim Alekseïeva


“On aimerait tant pouvoir inventer le dragon qui fera de nous des princes charmants.„

▽ nom & prénoms : Isaak Vadim Alekseïeva. Isaak était le prénom du père de ma mère qui est décédé l'année de ma naissance, Vadim est en revanche le prénom de mon parrain ou autrement dit le prénom de mon oncle. Quant à mon nom, il n'y a pas grand chose à dire, il est particulièrement connu en Russie pour la profession des hommes de celle ci, mais il n'y a pas grand chose d'autre à dire dessus. ▽ âge : Seize ans, cela dit je suis bien plus proche des dix-sept ans que des seize, puisque d'ici deux semaines j'aurais fêté mon anniversaire. ▽ anniversaire : Je suis né le vingt-trois décembre dans une petite ville perdue de Russie. Autant dire dans un recoin perdu de ce monde.▽ origines : Je crois bien qu'il n'y a que des Russes dans ma famille, notre nom venant d'une arrière arrière arrière grand-mère du coté de mon père qui aurait été la première femme russe à mettre au tapis au Dragon. Autant dire une sacré bonne femme, en somme une Russe. ▽ orientation sexuelle : Les femmes, je ne suis pas du tout, mais alors absolument pas du tout attiré par le même genre que le mien. Donc inutile de tenter de me charmer messieurs, ça ne fonctionnera pas. ▽ profession ou année d'études : Je suis actuellement en septième année. ▽ sorcier/ancien moldu/créature : Ma famille est uniquement formée de sorciers ▽ nature du sang : Au dernière nouvelle notre sang était qualifié de pur, mais mon frère s'étant mariée à une moldue, je crains que nous soyons la derniere génération véritablement pure. ▽ tu connais la magie depuis : Ma naissance. ▽ tu possèdes une baguette : De façon légale. ▽ épouvantard : Mon père. Étrangement j'ai toujours eut peur de mon père, peut être à cause de notre éloignement et du fait que nous ne nous soyons jamais vraiment comprit. ▽ patronus : Un ours blanc.


Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. Tumblr_ls5c1s1zVN1qbm32lo3_250
show me some magic !
Mon rêve? Mon voeux le plus cher? Que dire de ça? Je pense que s'il m'était permit de fermer les yeux un instant, en l'oubliant elle, je souhaiterais remonter le temps. Changer tout. Tout changer. Devenir l'enfant que l'on souhaitait, et ne pas restait celui que je suis aujourd'hui, me cacher pour qu'on accepte ce que je suis. M'offrir une nouvelle vie, m'offrir un nouvel avenir loin de cette douleur qui a façonné celui que je suis devenu. Je voudrais tout oublier pour tout recommencer, et parfois même je souhaiterais juste disparaitre. Certains penseront que je suis un être infâme, que je ne pense qu'à moi et que je n'ai pas réfléchis à la douleur que cela pourrait provoquer, mais à ceux là je me contenterais de répondre "qui s'est un jour intéresser à ma douleur?!". Personne, jamais personne, si ce n'est cette tante qui comme moi à été mise au rebut par un destin facétieux. Je me hais. Je vous hais. Et pourtant je continue à vivre, j'enterre ces rêves qui ne sont que mirages pour mieux laisser mon esprit vagabonder sur elle. Uniquement sur elle.

i wanna see your magic tricks !
♣ Isaak a une très mauvaise vue mais il ne porte quasiment jamais ses lunettes sous prétexte qu'elles le gênent ♣ Il a laissé poussé ses cheveux après sa rupture ♣ Il fume beaucoup ♣ Il possède une mémoire eidétique ♣ Il est d'un naturel bagarreur ♣ Si par rapport à sa famille il semble frêle à coté de la plupart des gens il est relativement costaud ♣ S'il vous sourie c'est juste parce qu'il n'a pas envie de vous dévisager, à dire vrai... Il s'en fou pas mal de vous. ♣ Il n'a pas d’apriori sur les sangs mêlés ou les moldus ♣ Il passe beaucoup de temps à lire, c'est peut être même son passe-temps préféré.



once upon a time

Il y a des promesses que l’on se fait dans la vie alors que l’on sait parfaitement que l’on ne saura les tenir, je me suis toujours demandé ce que devenait ses mots prononcés comme des paroles en l’air, ses espoirs déçus. Se laissaient-ils porter par le vent pour s’effacer avec le temps jusqu’à ce que, au détour d’une conversation, on se souvienne d’eux ? C’est alors qu’accomplissant une vengeance purement malsaine, il nous assène un coup violent qui nous fait tomber à genoux dans notre propre déchéance. Nous ne sommes rien d’autres que des incapables. Incapable de tenir nos promesses. Incapable de garder notre amour. Incapable d’ouvrir les yeux quand il le faut. Nous ne somme rien. Pas plus que nos mots. Nous ne sommes que poussière balayé par le vent. Une larme roule sur ta joue, mais qu’importe, personne ne viendra la cueillir, il est trop tard. Trop tard pour toi. Trop tard pour moi. Trop tard pour nous. Déjà tout s’effondre autour de nous, plus rien ne nous raccroche, plus rien si ce n’est ton regard qui croise le mien dans les longs couloirs. Dans un rythme ralentie au milieu de la cacophonie effrénée je ferme les yeux en me disant « c’était mieux avant ». Mais mieux avant quoi ? Avant de te rencontrer ? Avant de venir ici ? Avant de naître peut être ?!
Les souvenirs, contrairement aux promesses, sont bien plus solidement ancrés en nous. Ils s’accrochent à notre cœur, y plantant leurs douloureuses aiguilles, ils se diluent dans notre corps comme le poison d’une vie ratée. Les fantômes du passé surgissent sans cessent, nous hantant jusqu’à ce que nous ne puissions plus fermer l’œil de la nuit. La pâleur du mort plane sur nous alors que nous nous égarons dans les méandres de nos esprits à la recherche du moment où tout à commencer à basculer pour nous, et l’on remonte progressivement la frise chronologique de nos souvenirs pour tomber sur des choses que l’on avait enfoui bien profond mais qui laissent entrevoir les cadavres d’une vie laissés sur le bord de la route. Des poids dont on a tenté de se débarrasser mais qui, insidieusement, se sont arrimés à nos corps fragiles. La route est difficile. La route est sinueuse. Et c’est à la sueur de nos fronts que nous avançons trainant les vestiges d’une mauvaise vie espérant alors qu’un jour, un beau jour, quelqu’un vienne couper ces chaines pour que nous puissions enfin nous envoler.
Vivre. Je ne veux que vivre. Vivre sans elle, vivre avec elle. Loin d’eux, avec eux. Je ne sais pas, je ne sais plus, je crains de ne jamais avoir su. Alors je m’enfonce toujours dans la noirceur de mon esprit, je me laisse submerger par mes sentiments tentant vainement de ravaler mes accès de rage et d’incompétence pour vivre encore un peu. Non. Juste pour survivre. Alors je sourie au monde avec toute mon impuissance, je lui souris alors qu’il m’enterre précipitamment sous un tas d’immondices dont je ne saurais m’extirper. J’étouffe. Je cherche mon air. Je me débats avec le fil de mes pensées jusqu’à tomber, inanimé, vaincu, épuisé sur les carreaux qui forment le sol. J’aimerais tant ne jamais me réveiller, j’aimerais tellement oublier cette douleur qui me ronge les chairs comme l’esprit, façonnant tel un petit Pygmalion l’image de celle que je veux serrer dans mes bras jusqu’à lui briser les os. Amour. Haine. Amour haineux. Tout ce mélange pour ne former que des souvenirs qui peuplent mes rêves. Comme j’envie ceux qui ne rêvent pas, si je le pouvais, je vendrais mon monde onirique pour un peu de repos, mais au lieu de ça son image m’obsède.

"C’est drôle la vie. Quand on est gosse, le temps n’en finit pas de se trainer, et puis du jour au lendemain on a comme ça 50 ans. Et l’enfance tout ce qui l’en reste ça tient dans une petite boite. Une petite boite rouillée."

Quand on demande aux gens qui nous entourent quel et leur premier souvenir, ils vous répondent en général quelque chose d’assez flou. Un souvenir qu’ils ne sauraient vraiment vous expliquer, il n’est plus attaché à rien, plus vraiment réel tant il a été remanié mais dont personne ne saurait remettre en cause la véracité. Mais pour moi c’est différent, je crois que mon souvenir résulte d’une douleur intense, une prise de conscience aussi involontaire que soudaine. Le genre de révélation qui vous fait comprendre à quel point vous n’êtes pas comme les autres, et que vous ne le serrez jamais. Ce n’est pas tant qu’il y a un oubli, ou qu’il y a une chose en plus, il manque juste une étincelle pour vous faire briller tout le monde vous regarde quand vous parlez, personne ne comprend ce que vous dites, et pourtant on continue à vous taper dans le dos en espérant que les choses changent. Il y a cette lueur triste dans leurs yeux qui s’allument quand je passe devant eux, ils se demandent certainement ce qu’ils feront de moi. Et moi-même je me demande ce qu’il adviendra de moi quand je serais grand. Je n’ai pas plus de sept ans, mais je sais déjà que je ne pourrais jamais rivaliser avec mon père, comme je ne serais jamais à la hauteur de mes trois frères. Ils sont si forts, si grands, si puissant, de véritables chasseurs nés, et à coté il y a moi. La différence. Rien que la différence fait souffrir. Elle ouvre un fausset dans votre cœur, elle creuse encore et encore les sillons de la séparation. On tente de s’y faire, on tente bien de s’intéresser à ce qu’ils aiment mais rien n’y fait. Je suis différent. Ils sont différents. Et même si je sais qu’ils m’aiment et qu’ils m’aimeront à jamais, je ne saurais ignorer les doutes qui les prennent, mais un jour les choses changent.
Quand on demande aux gens qui nous entourent quel et leur premier souvenir, ils vous répondent en général quelque chose d’assez flou. Un souvenir qu’ils ne sauraient vraiment vous expliquer, il n’est plus attaché à rien, plus vraiment réel tant il a été remanié mais dont personne ne saurait remettre en cause la véracité. Mais pour moi c’est différent, je crois que mon souvenir résulte d’une douleur intense, une prise de conscience aussi involontaire que soudaine. Le genre de révélation qui vous fait comprendre à quel point vous n’êtes pas comme les autres, et que vous ne le serrez jamais. Ce n’est pas tant qu’il y a un oubli, ou qu’il y a une chose en plus, il manque juste une étincelle pour vous faire briller tout le monde vous regarde quand vous parlez, personne ne comprend ce que vous dites, et pourtant on continue à vous taper dans le dos en espérant que les choses changent. Il y a cette lueur triste dans leurs yeux qui s’allument quand je passe devant eux, ils se demandent certainement ce qu’ils feront de moi. Et moi-même je me demande ce qu’il adviendra de moi quand je serais grand. Je n’ai pas plus de sept ans, mais je sais déjà que je ne pourrais jamais rivaliser avec mon père, comme je ne serais jamais à la hauteur de mes trois frères. Ils sont si forts, si grands, si puissant, de véritables chasseurs nés, et à coté il y a moi. La différence. Rien que la différence fait souffrir. Elle ouvre un fausset dans votre cœur, elle creuse encore et encore les sillons de la séparation. On tente de s’y faire, on tente bien de s’intéresser à ce qu’ils aiment mais rien n’y fait. Je suis différent. Ils sont différents. Et même si je sais qu’ils m’aiment et qu’ils m’aimeront à jamais, je ne saurais ignorer les doutes qui les prennent, mais un jour les choses changent.
Ce jour-là, mon père est entré dans ma chambre, il s’est assis sur mon lit, et un certain silence c’est installé. J’étais incapable de continuer ce que j’étais en train de faire, sa présence surprenante me paralysait de peur, je ne savais pas quoi faire, et lui n’avait jamais vraiment fait un quelconque pas vers moi, toujours il s’était senti bloqué par cette invisible barrière de notre différence perpétuel. J’avais toujours envié mes frères qui pouvaient passer des semaines hors de la maison en sa compagnie à chasser le dragon, à se faire traqueurs de lézards ou d’autres créatures magiques. Mais au lieu de ça, je n’étais qu’un enfant plutôt fluet, avec une très mauvaise vue et une intelligence rare dans cette famille. Condamné à rester dans les jupes de maman, condamné à regarder le monde tourner autour de soi sans pouvoir faire quoi que ce soit pour l’influencer. Alors que faire quand votre père fait un pas pour rentrer dans votre univers ? Le regarder comme une bête curieuse ? Lui ouvrir les bras ? Je n’eus pas le vraiment le temps réfléchir à tout ça qu’il ouvrait déjà la bouche pour me parler de sa grosse voix. « Tu sais Isaak ça fait longtemps qu’on s’est rendu compte que t’étais pas comme nous. Enfin… Je veux dire on sait que tu es notre fils, mais tu seras jamais un chasseur de dragons. T’es pas comme nous. T’es trop intelligent pour ce boulot. ».
C’est un cauchemar, jamais on ne devrait vous dire ça, jamais on ne devrait détruire les rêves des enfants. Je m’effondre tentant de garder bonne figure face à ce père aux airs sombres. Il me regarde un instant, mes yeux trahissent la tristesse là où les siens ne reflètent que la dureté et la froideur. « On s’en est rendu compte très tôt, alors on t’a inscrit dans une bonne école, le temps viendra où il faudra que tu nous quitte. ». J’ai le cœur sanglant, les larmes qui montent à mes yeux, et l’envie soudaine de mourir. Je suis un enfant. Rien d’autre qu’un enfant dont on tente de se débarrasser, mais je ne réponds rien, je me brise silencieusement, je me brise à jamais. Peut-être un jour j’oublierais. Peut-être qu’un jour je penserais que ce n’était que pour mon bien, mais à cet instant, je n’ai que le cœur serré, je veux qu’il parte. Je veux qu’il disparaisse. Je veux partir. M’éloigner pour ne plus jamais revenir. « Dans trois ans tu devras y entrer, c’est pour ça qu’on t’envoie chez ma sœur, en Angleterre. Il faut que tu apprennes à parler Anglais, et surtout il faut que tu ais une meilleure vie que nous. ». Il se lève, et part en me laissant seul avec mon désespoir. Il ferme la porte silencieusement en me laissant dans cette horrible vérité, il n’y a rien à faire, la sentence a été prononcé.

« L’adolescence serait toujours cela : le partage de quelques illusions. L’âge adulte, la solitude des déceptions. »

Quitter une vie pour se lancer dans une nouvelle, quand on a huit ans ce n’est pas quelque chose que l’on s’imagine faire facilement. On vous déracine sans vous demander votre avis, vos parents se disent qu’après tout vous vous en remettrez, mais s’imaginent ils seulement à quel point cela vous blesse. On ne tient pas compte de vos sentiments, on se moque de vos attaches et de vos envies, vous n’avez qu’à vous taire et suivre le mouvement. Pas la voix aux chapitres. Les décisions sont prises. Les valises sont bouclées. Et c’est au travers d’une cheminée qu’on m’a poussé, me forçant à lâcher la poudre de cheminette en prononçant l’adresse d’une femme que je n’avais encore jamais vu. Je vois encore mes parents et mes frères dans le salon me regardant la mine grave, les traits tirés. Puis ce nuage de fumée verdâtre. Pour me retrouver finalement face à une femme inconnue. Peut-être la plus belle qu’il ne mettait jusqu’alors jamais été donné de voir. Cette femme c’était ma tante, Tatiana, elle ne ressemblait à rien à ce père que je venais de quitter. Petite mais plantureuse, blonde, les yeux verts, une peau laiteuse, et un sourire à vous damner. J’appris avec le temps qu’elle était aussi terriblement espiègle et d’une intelligence remarquable.
Ma tante Tatiana avait quitté la Russie une dizaine d’année auparavant, autant dire avant ma naissance. Elle s’était marié à un sorcier Anglais, un vieux bonhomme qui avait écrit de nombreux bouquins sur la médico-magie, mais qui était mort dans l’attentat de mille neuf cent quatre-vingt-seize alors qu’il était en déplacement à Manchester. Elle ne parlait pas de ça, elle se contentait de sourire tristement devant une photo de cet homme que je n’aurais jamais la chance de connaître, elle ne songeait pas une seule seconde à se remarier, et trouvait en moi l’image de l’enfant qu’elle n’aurait jamais. J’ai alors commencé à me demander si mes parents ne m’avaient pas envoyé en Angleterre, non pas à cause de ma différence, mais juste pour servir de compagnon à cette femme adorable.


« « L’amour qui vit dans les orages et croît au sein des perfidies, ne résiste pas toujours au calme de la fidélité. » »

Puis un jour on tombe amoureux. C’est dingue. C’est beau. Et pourtant douloureux. C’est un sentiment qu’on ne contrôle pas, c’est presque de l’ordre de la pulsion, ça prend le dessus sur tout sans que cela soit explicable. On se met à rire pour rien. On se met en colère pour moins que rien. C’est terrible. On le sait. Mais c’est une terreur qu’on apprécie. Je me suis perdu dans ses yeux, je me suis perdu pour elle, et j’ai cru qu’il en serait ainsi pour de nombreuses années, qui si un jour tout devait s’arrêter ça ne serait pas de notre faute, que ça serait un coup du sort. Une fatalité. Et l’on n’ose s’imaginer ce que sera la douleur du désamour, c’est de l’ordre du rêve mais l’on ne dort plus. On s’enivre de son parfum, on boit à sa vie, et on n’en oublie toute la douleur d’une vie qui nous rejette. Je l’ai fait monter sur un piédestal, grand mal m’a pris car bien vite elle fit tomber sa statue, faisant voler en éclat mon corps et son effigie. L’amour peut être douloureux, mais la morsure de la trahison vous détruit à jamais. Comment la regarder ? Comment lui pardonner l’impardonnable ? La colère s’empare de tout. J’ai frappé les murs à m’en écorcher les mains, mais jamais la douleur de ce cœur meurtri n’a disparu. Tu m’a vaincu Ariel. Tu as tué le colosse. Tu l’as écrasé pour qu’il ne puisse plus jamais se relever. Je suis mort ce jour-là, je suis mort pour toi et par ta faute. Une simple erreur me diras tu, mais il y a des erreurs qui coûtent tellement. Une simple peur surement, et pourtant aujourd’hui, la peur n’est plus. Tu te commets avec eux sous mes yeux, et moi je ne veux que tu faire pleurer comme mon cœur à saigner. Abondement. Constamment. Je veux ouvrir la plaie de la déception, et je ne rêve que de te poignarder. Chaque nuit je pleurs sur la dépouille de notre amour, et chaque nuit la vengeance ne se fait attendre dans mes rêves.
Je te hais. Je t’aime. Je ne sais plus quoi penser.



sinon t'es qui toi ?

[justify]▽ pseudo irl : Tchapalow ▽ âge : 23ans ▽pays : J'ai envie de dire dans ton cul...▽ depuis combien de temps tu fais du rpg : Depuis longtemps voila! ▽ personnage préféré de la saga : Oui oui. ▽ ton sort favori : Vas donc voir dans la fiche d'Asteria ▽comment tu as connu fizwizbiz : De la même façon qu'Asty ▽ ta fréquence de passage : Toujours la même ▽ ton impression première sur fizwizbiz : Oh berk. ▽ le mot magique : J'en sais rien ▽ un dernier mot ? J'ai fini! Bâclé mais fini


Dernière édition par Isaak V. Alekseïeva le Dim 9 Déc - 20:45, édité 11 fois
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D. Franky Ariel Hemingway

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YELLOW QUEEN ▽ admin

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▽ date d'inscription   : 06/08/2012
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▽ âge du personnage   : seize ans
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▽ clubs/associations   : Co-Présidente de la Mafia, aight, psychologue de la Gay League (n'interviens que si Phoenix vous a traumatisé.), membre du club des hauts statuts de Poudlard.

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MessageSujet: Re: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. EmptySam 8 Déc - 22:18

Rebienvenue amore, tu connais la maison Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. 1141002970
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Phoenix N. Hemingway

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▽ date d'inscription   : 06/08/2012
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MessageSujet: Re: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. EmptySam 8 Déc - 22:56

Ouèch si vite tu as décidé d'agiter à nouveau mes hormones :cute:

Rebienvenue, bonne chance pour ce personnage qui va etre asdkljghjfjhjghgjhgf je le sens, j'ai la foi, j'y crois :arcenciel:
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MessageSujet: Re: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. EmptyDim 9 Déc - 19:03

Re-Bienvenue d'après ce que j'ai lu Rolling Eyes
Bon courage pour ta fichette :magic:
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D. Franky Ariel Hemingway

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MessageSujet: Re: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. EmptyDim 9 Déc - 20:51

Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. 1795177391 ton histoire est trop magnifique, comment Franky peut résister à ça ? :cute:

serpentard !
Message du Choixpeau :
« Vous finissez à Serpentard
Soyez plutôt malin
Car ceux-là sont de vrais roublards
Qui parviennent toujours à leurs fins. »

Avant de vaquer à vos activités magiques, il est de bon ton d'ouvrir un carnet de relations, et de consulter les bottins -au cas où l'un d'entre eux vous concernerait.
Si vous perdez le nord, la carte du maraudeur reste à votre disposition; elle fourmille de lieux à découvrir. N'oubliez pas vous pouvez rejoindre un club, et faire gagner des points à votre maison... Et que le plus important reste encore de rp ! D'ici quelques instants, tu vas recevoir dans ta boite mp un cadeau des dieux, enfin plutôt une mission secrète envoyée par le staff qui te rapportera des points, sois à la hauteur ! Enfin, vous pouvez envoyer à tout moment un hiboux aux rois & reines de Fizwizbiz ! Ils aiment bien, ça leur passe le temps... :mg:
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MessageSujet: Re: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. EmptyDim 9 Déc - 20:55

Je ne sais pas comment tu as fait.
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MessageSujet: Re: Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your.   Isaak V. Alekseïeva ♣ One whole hour, I want to be your. Empty

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