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 ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.

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Willow Orwell

Willow Orwell


▽ date d'inscription   : 21/04/2013
▽ tweets   : 5
▽ âge du personnage   : 17 ans.

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MessageSujet: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:03


feat yuri pleskun, tumblr
Willow Orwell


“ Sans compter que les rêves n'ont pas à être logiques, n'est-ce-pas ? Les rêves sont des poèmes écrits par le subconscient. „

▽ nom & prénoms : écrire ici ▽ âge : écrire ici ▽ anniversaire : écrire ici ▽ origines : anglais pur souche. ▽ orientation sexuelle : écrire ici ▽ profession ou année d'études : écrire ici ▽ sorcier/ancien moldu/créature : écrire ici ▽ nature du sang : écrire ici ▽ tu connais la magie depuis : qu'il a avalé ces bonbons étranges. ▽ tu possèdes une baguette : de façon légale ou illégale ? ▽ épouvantard : écrire ici ▽ patronus : un paon blanc.


▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. Tumblr_lmbozwBqJi1qd4uipo1_500
show me some magic !
C'est le noir, c'est les ténèbres, je les côtoie depuis toujours, du moins, cs mois me paraissent une éternité. Pourtant, cette fois-ci, ce n'est pas comme d'habitude, quelque chose me pique au fond des yeux, quelque chose me dérange dans ma vision du monde qui n'est plus qu'un grand vide. J'entends les sons, les voix, elles se mélangent pour donner une jolie symphonie. Tout me parait doux à l'oreille, et pourtant, ça me gratte, ça me démange, là tout au fond. Comme si, un monstre voulait sortir de mon regard, une frénésie incontrôlable. Je passe mes mains autour de moi, je sens de l'herbe, un peu froide, fraiche, il a dû pleuvoir cette nuit à ne pas en douter. Je crois que je suis dans un jardin, dans un parc, ou quelque chose s'en rapprochant. Agréable, étrange sensation qui me domine, je cligne des yeux. Une fois. La deuxième me déstabilise. Ce n'est plus sombre, ce n'est plus de l'encre, c'est un beau gris nuancé. Des formes se glissent, se montrent, comme des ombres dansantes autour d'un feu de camp. La caresse du soleil sur ma peau, les odeurs incertaines, tout parait plus clair. Je cligne à nouveau, ce sont des mains que j'arrive à discerner dans ce paradis flouté. Je fronce les sourcils, je le sens, vicelard ce foutu coeur à claquer contre mon torse, doucement et aussi avec force, comme s'il allait arracher ma peau et partir en bon voleur. Je les vois, ils sont fins, d'une netteté à m'en couper le souffle. Durant un instant, une pensée me traverse l'esprit. Je dois être mort, c'est une blague offerte par le démon, c'est ça ? Ou une farce d'un quelconque sorcier ? C'est lugubre, pourtant, je sens une chaleur m'envahir, une émotion que j'ai éprouvé une fois, quand je n'ai pu ouvrir mes yeux que pour découvrir le creux des aveugles. Mes mains bougent dans le vent, je les fixe avec fascination. Combien de temps ? Quelques mois ? Tout parait irréel, elles sont blanches, opalines, fines comme les doigts d'un pianiste. Ce ne sont que des mains, les miennes, et pourtant, à mes yeux elles me paraissent comme un cadeau. Je retrouve ce que je n'ai connu, je gagne ce que j'ai perdu. Je sens un sourire crétin couler sur ma peau. Je veux rire comme un gosse jeté dans un univers de bonbons, je veux pleurer de bonheur parce que je revois.
Pourtant, je ne le fais pas, parce que je sais, que tout au fond de moi, que ce n'est qu'une illusion.
C'est beau les chimères, pourtant ça me laisse ce goût amer au fond de la gorge.


i wanna see your magic tricks !
est devenu aveugle suite à un accident de voiture qui s'est déroulé il y a quatre mois, une lésion de la rétine, les médecins n'ont rien pu faire de concret. De ce fait, ses autres sens sont énormément développés, il mise tout sur le toucher, l'ouïe et l'odorat. Heureusement pour lui, avant le drame il a été à Poudlard durant trois mois, lui permettant d'assimiler assez pour pouvoir se débrouiller au mieux maintenant malgré son handicap. Malgré tout, à cause de celui-ci, il ne peut jouer au Quidditch ou se permettre d'autres activités. ▽ par ailleurs, il ne faut guère être étonné si Willow vous demande s'il peut toucher votre visage. Soyez-en rassuré, il est loin d'être une brute et au contraire, prendra un certain temps pour dessiner votre visage entre les parois de son crâne. Tactile de base, l'accident n'a fait que renforcer ce point, une simple description ne lui suffit pas. ▽ depuis ce jour, il apprécie les choses simples de la vie, après tout, ne pouvant que voir un fossé noir, tout aurait pu prendre une tournure macabre. Contre toute attente, il a préféré se battre. Marche ou crève reste une phrase qui lui est implantée dans la tête. ▽ préfère rigoler de ses malheurs là où d'autres prennent la mouche. ▽ considère son demi-frère Maddox comme ses yeux. Si les débuts n'ont pas été concluants, au bout du compte il lui est devenu indispensable. Parfois il n'hésite pas à lui poser des question sur l'alentour, sur ce qui peut se passer, ce qu'il rate. Une paire d'yeux, de la même couleur que les siens. ▽ certes il lui arrive de fumer, mais ne peut en aucun cas boire de l'alcool. C'est une chose qui malheureusement ne passe pas, et ce n'est pas faute d'avoir essayé de tenir plus de deux verres. ▽ croit en la réincarnation. Non pas celle des animaux, mais que l'esprit disparait à la mort et entre dans le corps d'un nouveau-né. ▽ il lui arrive parfois de se demander la signification de ses rêves ou de ceux des autres. ▽ essaie tant bien que mal d'apprendre le braille depuis l'accident, auquel cas il demande à quelqu'un de lui faire la lecture. Frustration ultime en sachant qu'avant, il pouvait passer des nuits à lire des livres. ▽ il a commencé à jouer du piano à l'âge de huit ans, s'est arrêté alors qu'il avait quatorze ans. Petit talent perdu au fil des années, c'est parfois avec nostalgie qu'il se dit qu'il aimerait bien recommencer à en jouer. ▽ ne connait d'autre position que de s'assoir en tailleurs. Sur une chaise il sera sur dans cette position, sur son lit, bref, partout où il pose ses fesses il croisera ses jambes. ▽ se dévore la lèvre inférieure le plus clair du temps, quand il se met à réfléchir, quand il est nerveux, un tic qu'il n'a jamais enlevé.

can i get on your magic bus ?
Section facultative. Pour les possessions rares, facultés spéciales, transformations en créature magique des nés sorciers, rédige ici et en une dizaine de lignes minimum un paragraphe explicatif cohérent et convainquant, afin de consolider les bases de tes particularités. Aies de bons arguments. (Dès lors il sera inutile de reposter ta demande dans la section des facultés spéciales.)
Attention cependant, pour être préfet, directeur de maison, ou encore membre d'une équipe de quidditch, il faudra formuler ta demande dans la section adéquate, une fois validé (on te le rappellera).


once upon a time



Plic, plac, ploc.
Plic, plac, ploc. Musique répétitive de gouttes d'eaux qui s'écrasent sur la fenêtre, symphonie du pleureur, c'est une journée qui pourrait se murmurer comme une autre dans la belle ville de Londres. C'est gris, c'est fade, c'est pollué, et pourtant, ça a son charme. De ce que je me souviens, des couleurs sur lesquelles je m'attardais étaient celles des appartements, des maisons. Rouges ou brunes, jamais d'exception ou de cas à part, c'est se suivre comme de bons petits soldats en bois. Un sourire aux lèvres, le coeur malgré tout qui menace d'éclater en son bord et laisser une trainée de sang, ma main est posée sur la fenêtre. En me concentrant, je peux presque sentir l'eau me caresser la paume et glisser le long de mon bras, jusqu'à s'écrouler sur le parquet. La porte s'est fermée, les voix ont se sont lancées, et maintenant ? Je me trouve seul dans ce lieu un peu quelconque, anodin, alors que ma place ne devrait être ici. C'est l'accident, c'est la voiture, c'est les yeux qui lâchent, les yeux qui claquent pour parsemer de ci et de là un peu de désespoir n'appartenant qu'à tout à chacun. Je pince ma lèvre inférieure. Je connais le visage de mon père, celui de la femme avec qui il partage sa vie, et pourtant, une paire d'yeux me reste un véritable mystère, un point d'interrogation géant dans mon espace vide. C'est un frère, c'est un inconnu. Hésitant, lointain, n'osant prononcer le moindre mots ou du moins que trop peu à mon goût. Pourtant, j'ai eu droit à certaines préventions de la part de mon père avant que tout ne se déroule aussi facilement, une genre de pile électrique. Est-elle à plat ? Juste ce malaise que je peux sentir à plus de dix kilomètres. Ce n'est pas de la pitié, ni grand chose au bout du compte. C'est toujours avec douleur que l'on regarde ceux qui sont démunis de certaines choses. J'aurais pu perdre mes jambes, mes bras, le sort en a décidé autrement et m'a dévoré de l'intérieur, s'attaquant à mes pupilles. Tendant l'oreille, j'avance la main frôlant le mur pour me diriger. Une odeur familière me traverse les narines, cigarette, un mélange de café. Maddox et ses petites habitudes, Maddox qui ne passe pas inaperçu dans ce qu'il peut faire. La porte face à moi, une main glissée sur la poignée, quant à l'autre, elle est sur le bois grinçant et vieillot de la maison. Si j'ose, si je tangue entre peur et curiosité, c'est grâce à l'inspiration profond que je passe le pas de la porte. Futur demi-frère, un jour nous serons une grande famille selon les espoirs d'autres. Pourtant, j'ai bien du mal à imaginer une grande complicité, je n'y vois que de la gêne. Je n'en veux pas, je n'en veux plus. Juste savoir quels traits peuvent se poser sur son prénom. « Je peux te parler deux minutes ? » Je dois être fait de sucre ou de verre, peut-être de porcelaine car le bruit du bâton de cancer s'écrasant contre le cendrier résonne contre mes tympans. Je suis cassé, j'ai été jeté dans une benne à ordure, je suis réduit au jouet inutile qui ne sait plus parler, malgré tout, je survis aux claques, au verre qui s'incruste dans ma peau et me pique sans cesse l'âme, au plus profond. Je ne suis pas une belle boite à musique, je suis juste bien désaccordé. C'est un silence qui vole contre les parois de mon crâne, claque tout doucement, faisant naître en moi un doute presque dévastateur. Je redoute un peu tout chez lui parce que je ne sais qui il est, ce qu'il veut, juste des lettres que je peux coller sur son front. « Euh... ouais, pourquoi pas. » La pression faisant taper mon sang durement retombe d'un coup. Stupide raison pour se sentir aussi mal, crétin même, il faut croire pourtant que depuis que je côtoie un autre quotidien, tout viens à prendre une envergure différente. Un sourire se pose sur mon visage, je le sens qui s'étire un peu, juste assez pour qu'il ne paraisse pas niais à souhait. Mes doigts frôlent, touchent la surface que compose le mur de la cuisine. Je me fie seulement aux anciens plans qui me reviennent en flash, c'est pourtant tant bien que mal que j'arrive à tenir debout. Une chaise quelques centimètres plus loin, mes mains se posent dessus et j'en profite pour prendre un petit appuie. « Tu sais .. j'ai jamais vu ton visage à proprement parlé. J'ai eu la chance de voir celui de ta mère avant l'accident, celui de mon père, mais le tien, c'est ... un mystère pour moi tu sais ? » Une phrase finement dévié, je suppose qu'il doit se douter que ma demande ne sera pas orthodoxe. Après tout, c'est la seule manière que j'ai pour me faire une idée. Pourquoi ? Simplement être rassuré. Je suis juste un gamin qui a été jeté trop longtemps dans une forêt lugubre, loin de tout, du monde et de la civilisation. Qui petit à petit avance, mais plus le fond se fait sentir, moins il arrive à voir autour de lui. La seule façon qu'il a pour survivre est ses mains, ses oreilles, son nez. Sans cesse se concentrer, percevoir la moindre fourberie, le piège le plus dégoutant. Défier les lois du monde, pour un jour pouvoir dire qu'il arrive à vivre. Comment faire la différence, comment savoir le bien du mal maintenant qu'il fait nuit ? Essayer, marcher, laisser ses pieds frôler la terre, souffrir parfois, souvent même et pourtant, exorciser ses démons. « Hm... j'ai rien de spécial, cheveux noirs, yeux bleus, plus clairs que ceux de ma mère. Je ressemble à mon père. » Je pince ma lèvre inférieure à ses paroles. Je ne sais pas comment le prendre, l'interpréter. Pourtant, son ton de voix m'offre un petit peu d'espoir, fait office d'une bougie invisible pour mes paupières closes. Haussant un sourcil sur deux, je termine par m'assoir, je ne sais pas trop où je regarde à vrai dire. J'ose espérer que mes prunelles blanches sont tournées vers lui, pas vers la fenêtre ou le plafond, encore moins le sol. Difficile de se dire qu'il fut un temps où je regardais sans cesse cette porte menant directement vers l'âme. C'est trembler, c'est entre choquer ses dents. Pas le froid de l'hiver, plus de celui qui s'interpose au fond. « Difficile de se faire une idée avec si peu de renseignements. Qui plus est, je ne connais pas ton père, j'veux pas avoir une image fausse de toi. Est-ce que tu serais d'accord que... » Doute, dérision, même un peu de panique. Je n'ai pas le droit. Je suis Orwell, tout comme mon père, borné comme un animal, n'ayant presque aucun effroi. Avant. Maintenant. Passé. Présent. Dégoutant. Déprimant. Je tire une grimace à cette idée, tapotant légèrement du pied. « ...je te touche le visage ? » Ce n'est pas barbare, ni une technique visant à lui arracher la peau pour la coller sur un mur. Je ne suis peut-être pas le plus doué, je n'ai jamais été dans une telle situation, il doit être la deuxième ou la troisième personne à qui je demande, reste encore à savoir s'il va dire oui en me faisant confiance. Juste un peu, juste ce qu'il faudra pour qu'il ne se sente pas au bord des larmes. C'est pas du feu, c'est pas de l'eau, c'est qu'un contact, pas comme un autre et qui pourtant se veut plus qu'utile. « Oui, si tu veux. » Vraiment ? « Donne moi tes mains. » Vraiment.

Toucher, frôler, pouvoir se vanter d'avoir un jour posé ses mains sur un visage, sur quelque chose qui de base ne se laisse pas aussi facilement faire. Inconsciemment, je sens mon tic-tac interne s'emballer un peu. De la joie, de l'inconscience. Le gamin jeté dans un magasin remplis de jouets en tout genre, d'une façon différente, à ma manière du moins. Je n'ai pas compris ce qu'il a dit, un seul mot à en juger par le silence qui nous enrobe la minute d'après. Là, on ne peut dire que la magie opère, mais tout ce que je peux y faire. Poser ses mains sur des joues, glisser sous les yeux, s'attarder sur des paupières, sur un front, avec une lenteur déconcertante mais pourtant bien utile. Comme un dessin, une craie se montrant sur un tableau d'écolier, tout se dessine au mieux, je repasse à plusieurs reprises sur certaines parties de son visage. J'y met parfois de la couleur, un bleu digne de la mer, une tignasse brune un peu ébouriffée et puis un nez ayant une petite bosse, je doute que ce soit à cause d'une chute anodine qui disparaitra. Non, plutôt cassé, causé par un coup fourbe du destin. Vrai, pas vrai, faux, pas faux, il y a des tas de possibilités lumineuses ou bien sombres. « Je te plais ? » Autant rire de la situation, en sourire comme toujours. Au départ, je dois avouer que les coups morales ne faisaient que me rabaisser au plus bas, puis un jour, il suffit de se dire que même sans cette étincelle visible dans le regard, l'on est pas totalement mort. C'est l'horloge qui nous permet de tourner, celle qui sonne à minuit, qui s'emballe parfois, va d'avant en arrière puis peut paniquer. Je l'ai empêché de rouiller avec vivacité. Pas de guérison ultime, aucun chaman pour appeler les esprits. Il faut s'y faire un jour, même si les rêves arrivent parfois, même si la flûte ensorcelante peut vous faire gober n'importe quoi. C'est la réalité qui rattrape. Plus de matin dérangeant en sentant les rayons du soleil déranger votre sommeil, plus besoin de porter de lunettes. Cette idée me fait sourire comme sa remarque parfaitement hasardeuse. Je suppose que mon imagination n'est pas fausse et que certes, si les circonstances avaient été différentes, que rien en tombe en rochers piquants, qui sait ? « J'suis pas sûr que t'aimerais savoir la réponse. Qu'est-ce qui t'es arrivé ? » En causant de sa cassure, de sa felure, non pas de la mienne, après tout, tout est écrit sur du papier à musique. Simple, concret, net, il en faut peu pour ne plus se poser la question du comment. Le pourquoi reste suspendu comme l'épée de Damoclès au dessus de ma tête. « Je veux pas la savoir, alors. » Haussement de sourcils de ma part pour ne pas changer des bonnes habitudes, mes doigts se glissent alors un peu plus bas, retraçant la mâchoire, dessinant les lèvres comme sur un livre ouvert. Je sais enfin quel registre offrir à mon long ouvrage sur les visages à garder en mémoire. Inconsciemment, je me met à penser que nous sommes tout deux, deux belles gueules cassées. Un peu foutues, un peu brisées par la vie et sa manie de ricaner de vous quand vous avez le dos tourné. « Un mauvais coup. Sur le nez... » Logique, tout comme je suis tombé sur des morceaux de verre en ayant voulu courir après mon bus. C'est un ton peu assuré qui me laisse ô combien perplexe. Mais, à qui se fier ? A quoi bon pousser le bouchon ? De toute manière, je ne peux pas me le permettre, pas assez proche pour lui donner des conseils et encore moins lui faire la morale sur le mensonge, le bien comme le mal. Surement une histoire gênante ou vraiment un coup dans le nez ? Chacun ses monstres, ses démons, ses manières d'exorciser. Suffit de pleurer, suffit d'hurler ou bien de se cacher derrière un lourd mur de glace. J'arrête de bouger, je crois que j'ai cessé de respirer l'espace d'une seconde, ou de deux d'ailleurs. « Au moins, ça nous fait un point en commun, on est tout les deux un peu cassés ? » Mêler l'utile à l'agréable, si j'ai eu cette chance d'avoir ce contact sur sa peau, j'ose me dire que je peux tisser avec lui des liens, comme une araignée devant se rattacher à quelque chose, quelqu'un. Que ce soit un morceau de mur, une fenêtre brisée ou un mur dévoré par la pluie. Ce n'est pas flagrant, ce n'est pas plus voyant qu'une énorme tâche de naissance, pourtant, ce détail me pousse à croire que rien n'est totalement foutu, que je ne suis pas effrayant au point de totalement le faire fuir. Je n'ai pas le même vécu que le sien, je n'ai pas ses idées, ses pensées, encore moins son sang. Juste par alliance, juste parce qu'un jour, deux personnes ont décidés de refaire leurs vies avec leurs gosses dans les pattes. J'aurais pu décider de ne pas faire de pas, de ne pas aller faire lui et laisser couler une ambiance ennuyeuse, ignorante. Pourtant, je me butte à causer pour la simple et bonne raison que je n'ai plus rien à perdre. C'est une tournure dans un coin de rue, une page qui se tourne, un chapitre qui se termine, quoi que j'en décide, lui aussi est dans ce racontars et décidera s'il veut une fin grisante ou plus joyeuse. Juste parce que nous sommes foutus ? Oui. Juste parce que les coups se sont fait sentir ? Oui. Juste parce que nos existences ne coulent pas dans un monde dégoulinant de rose ? Oui. uc.


sinon t'es qui toi ?

▽ pseudo irl : écrire ici ▽ âge : écrire ici ▽pays : écrire ici ▽ depuis combien de temps tu fais du rpg : sept ans maintenant ! ▽ personnage préféré de la saga : SIRIUS FTW. Et Lupin aussi. :magic: ▽ ton sort favori : écrire ici ▽comment tu as connu fizwizbiz : écrire ici ▽ ta fréquence de passage : écrire ici ▽ ton impression première sur fizwizbiz : j'adore les couleurs, je meurs. :omg: :luv: ▽ le mot magique : écrire ici ▽ un dernier mot ? :fufuu: :calin: :*-*:


Dernière édition par Willow Orwell le Mer 24 Avr - 0:06, édité 10 fois
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G. Bubble K.-V. Lawford

G. Bubble K.-V. Lawford


▽ date d'inscription   : 19/04/2013
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▽ année/métier   : Sixième année à Poudlard
▽ clubs/associations   : Aucuns, pour le moment.

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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:09

Bienvenu sur le forum. Je ne connais pas la personnalité sur ton avatar, mais :luv: c'est une bombe ♥️

Et la musique, juste... :brille:

Et ton titre ♥️♥️♥️
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Willow Orwell

Willow Orwell


▽ date d'inscription   : 21/04/2013
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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:20

OH GABRIELLA. :*-*:
Autant j'ai jamais vu les mousquetaires, autant cette fille est juste trop mignonne, elle a un beau visage de poupée. :calin: Merci beaucouup, contente que le tout te plaise ! :luv:
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G. Bubble K.-V. Lawford

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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:31

Ouais, elle est magnifique ♥️
Il nous faudra un lien hein :siffle:
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Willow Orwell

Willow Orwell


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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:33

Ce sera avec grand plaisir ! I love you
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D. Franky Ariel Hemingway

D. Franky Ariel Hemingway

YELLOW QUEEN ▽ admin

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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:41

OMG MAIS VIENS PAR LA QUE JE T'EMBRASSE ET TE TUE DE CALINS OMG OMG OMG OMG :red: OKAY JE ME SENS PLUS TU M'AS TROP MANQUE GROS COMME UNE MAISON !!! :red:
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Maddox Q. Moorehead

Maddox Q. Moorehead


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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:43

Beau gosse, t'es là :luv:
Comment je suis trop content, dépêche toi de finir ta présentation, histoire qu'on aille démonter un peu Poudlard ! :love:
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Willow Orwell

Willow Orwell


▽ date d'inscription   : 21/04/2013
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▽ âge du personnage   : 17 ans.

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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyDim 21 Avr - 22:50

franky, OUI TUE MOI SOUS UN TAS DE CÂLINS DAMUR. :magic: :fufuu: LUUUUV YA MA BLONDE. :*-*:
maddox, AAAH MAIS C'EST QUOI CETTE CASQUETTE. :omg: Faut montrer ta crinière de liooooon. :cute: OUI OUI, j'essaie de me dépêcher. ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. 1795177391
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Maddox Q. Moorehead

Maddox Q. Moorehead


▽ date d'inscription   : 11/04/2013
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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyLun 22 Avr - 0:09

Laisse ma casquette tranquille ! :fuck:
Et dépêche toi donc, je suis déjà validé moi coco :héhé:
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Willow Orwell

Willow Orwell


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MessageSujet: Re: ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes.   ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. EmptyLun 22 Avr - 0:13

JAMAIS. :boude:
Non mais chut, mais heh, c'est qui qu'a donné le coup pour que t'ai la foi ? ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. 962136016 ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. 1141002970 UN PEU DE RESPECT POUR TES CADETS. :omg: Mais oui, sinon j'essaie de me dépêcher ihnaziuanhuizanh. ▽ la lune tremble, tousse et recrache des nuages de brumes. 1661162955
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