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 peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)

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D. Franky Ariel Hemingway

D. Franky Ariel Hemingway

YELLOW QUEEN ▽ admin

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▽ date d'inscription   : 06/08/2012
▽ tweets   : 918
▽ âge du personnage   : seize ans
▽ année/métier   : sixième année
▽ clubs/associations   : Co-Présidente de la Mafia, aight, psychologue de la Gay League (n'interviens que si Phoenix vous a traumatisé.), membre du club des hauts statuts de Poudlard.

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MessageSujet: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptySam 8 Déc - 18:10


Oh mon égérie, quittons ce bitume qui nous rend gris, nous abrutit et salit nos plumes.


Les orages sont les plus violents avant l'hiver, Franky l'a remarqué ça, et comme à chaque années elle les appréhende. On se foutrait trop d'elle si on apprenait que la Queen était apeurée par la météo. Le seul à savoir, c'est Phoenix, parce que Phoenix venait la protéger dans son lit avant. Mais ça c'était avant, parce que maintenant Poudlard a bâtit des murs et sept putains d'étages entre elle et lui, entre leurs lits. C'était quand la dernière fois qu'ils avaient dormit tout les deux ? Elle en était nostalgique. Dormir empilé et jouer aux terreurs, quand il n'y avait rien qu'eux deux. Mais le monde les a séparé, alors il faut aller de l'avant, il faut grandir et devenir plus fort. Voilà ce qu'elle en a retenu de tout ça. Ne pas se laisser marcher sur les pieds. Alors Franky a écouter et elle est devenue forte, elle a décidée que plus rien ne la rendrait faible, à commencer par les orages. Ces saletés d'orages.
En pleine journée ça va, on ne les entends pas avec toute la vie qu'il y a à Poudlard, mais le soir venu... Ca devient compliqué. L'orage gronde de plus en plus fort, fait trembler les murs du dortoir des Poufsouffles. Le sol peut bien s'ouvrir là que toute ces cruches continueraient à dormir. Franky se débarrasse alors de sa lourde couverture jaune et se lève un peu trop rapidement, manquant de se casser la gueule. Un nouveau grondement se fait entendre dehors et elle sursaute avant de se mordre la lèvre, son poing tremble, et elle ne se rappelle pas s'être vue dans cet état récemment. Elle ferme un peu ses yeux et essaye de se calmer, mais son cœur essaye de lui démolir la poitrine. Elle est perdue sans un repère, sans Phoenix pour la protéger, des fois elle ressemble a une petite fille et c'est une chose qui lui est tout juste impensable. Elle sait très bien vivre sans son frère, elle n'est pas obligé de toujours se rattacher à lui comme ça.
Mais elle connaît un endroit où elle peut être à l'abri aussi, des fois il y a même la musique d'une guitare qui s'élève. C'est apaisant. Franky aime entendre la guitare, pas la musique, non quand les doigts glissent sur les cordes, et la voix du chanteur. Le chanteur en question est pas très loin, un couloir, à côté même, dans la même maison. Evan. Elle ne sait pas vraiment comment elle en est venue à se retrouver dans son lit à trembler comme une feuille, une fois sans doute quand il l'a trouvé à errer bêtement dans la salle commune des Poufsouffles. Un boom éclate et ce n'est pas aussi rassurant que lorsque Rudy rate une potion, alors elle déguerpit sans même prendre sa baguette, sans même prendre sa robe de chambre ou ses pantoufles.

En quelques secondes elle est devant la porte du dortoir des garçons et elle se mord nerveusement la lèvre. Les dalles froides la gèle complètement sur place et elle n'ose même plus trop bouger. Mais si, allez plus que quelques pas et elle sera au chaud enfin, et rien que pour embêter Evan elle pourra se coller à lui et lui filer son froid aussi. Ou alors il pourrait lui refiler sa chaleur lui, ça ça serait le bienvenu. Franky pousse finalement la porte du dortoir et observe un peu les alentours. Là aussi tout le monde dort à point fermer, non mais ils avaient quoi ces Poufsouffles à n'être réveiller par ABSOLUMENT RIEN ? Bon elle le connaissait ça aussi, le matin il lui fallait un orchestre pour la réveiller sans quoi elle ne bougeait de son lit pour rien au monde. Ouais, fallait la pousser le matin.
C'est une tornade blonde qui passe, ses longs cheveux retombent sur ses épaules, et simplement habillée d'un large t-shirt à l'effigie d'un groupe de rock moldu. Elle se les caille grave, alors quand elle arrive près du lit d'Evan, elle ne peut s'empêcher de se glisser automatiquement à ses côtés sous la couverture. Tant pis s'il se réveille et et qu'elle lui fait peur, mais merde ils dorment presque dans les cachots et puis voilà. Moins mille. Franky se colle contre Evan et finit par se rendre compte qu'elle l'a réveillée à présent, en même temps c'était un peu normal... Et elle passe ses bras autour de sa taille pour se blottir un peu plus contre lui. « Bonsoir. » murmure-t-elle finalement en souriant. Les personnes qui ont eu le loisir de côtoyer Franky durant tard la nuit et au petit matin peuvent se féliciter de l'avoir vue plus... délicate ? Son côté sale gosse s'assoupissant un peu.
Cependant, elle n'est pas encore au moment où elle avoue qu'elle flippe sa race quand même, alors elle laisse son nez froid se glisser dans le cou du Poufsouffle, tremblante un peu. De peur ou de froid, elle préfère ne même pas y penser. « Je t'ai manqué, avoue-le. » Oui, les orages monstrueux comme celui-là n'étaient pas vraiment fréquents, alors elle n'allait pas se glisser dans son lit pour des raisons idiotes. Ca faisait longtemps en somme qu'elle n'était pas venue, et faut dire qu'il y a déjà quelque chose de rassurant dans ça. Franky redresse un peu son visage pour observer celui d'Evan et finit par sourire finalement, se rendant compte qu'elle venait sans doute de le tirer d'un profond sommeil.
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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptyDim 9 Déc - 19:50


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Eviel

PEU A PEU TES SONGES S’ÉVAPORENT, ET TU PENSES PAREIL QUE MOI

Le soir quand elle s'ennuie, le soir elle s'enfuit de Soho, viens me voir à Paris...
Les pilules, les cachets font effet un temps. Un jour le sommeil vous rattrape & il est bien plus profond que d’ordinaire. Je n’ai pas dormi depuis deux jours, ça m’a permis d’écrire. J’ignore si les textes sont beaux mais quand je trace des lettres sur le papier, quand je forme des mots, je me sens un peu utile. Il faut ce qu’il faut. Un rail, une gorgée de tequila & hop on avance. Une ligne de plus. Toujours est-il que c’est bien plus douloureux quand la fatigue revient à la charge. Ce sommeil est comme une sorte de demi-coma. Je sais que c’est dangereux mais…Ouais bref, tout ça devient bien trop mélodramatique. La guitare est rangée dans sa house sous le lit. Tout est à sa place. C’est une belle nuit, une jolie nuit d’orage. Je trouve ça magnifique et terriblement inspirant quand d’autres ont peur. Je pense à quelqu’un en particulier. Un dernier regard à la fenêtre & je ferme les paupières. J’ai toujours un peu peur de ne pas me réveiller, puis l’angoisse passe. Les jours défilent & je reste en vie. Je ne comprends pas pourquoi. Ce soir je n’arrive pas à dormir, et ce malgré le contre coup de toutes les merdes que j’ingurgite. Tant pis, j’attendrais sagement que la nuit passe. Je me tourne & me retourne sous les draps en écoutant le bruit du vent qui s’engouffre dans les arbres du parc, les coups de tonnerre qui claquent. Étonnement je trouve toujours ça assez reposant. Toujours plus calme que mon esprit. Pourtant j’entends un bruit de bois & je devine aisément que quelqu’un pousse la porte du dortoir. J’ignore totalement qui ça peut être. Étant plutôt solitaire, je me contrefous de la vie des gens. Un grand silence s’abat sur le dortoir et en quelques secondes mon lit est envahi par une tornade blonde. Je suis assez étonné de voir Franks ici ce soir. Je n’ai plus vraiment les idées très claires. Ah oui ! L’orage ! Ça doit être ça qui l’a fait venir jusqu’ici. Une part de moi était sûre que ça arriverait, l’autre est constamment dans les vapes. Passons. Je suis sûr qu’elle croit que je dors. Elle se blottit contre moi & elle est glacée en plus ! Génial…J’étais bien moi, au chaud, tranquillou. « Bonsoir ». Ah bas si je dormais, je dors plus. J’émets un rire qui ressemble plus à un gloussement & me tourne vers elle en essayant de ne pas me casser la gueule (vous avez déjà vu un lit à Hog’s, c’est pire qu’étroit). Je lui fais face & remarque d’ailleurs au passage qu’elle porte le t-shirt d’un groupe que j’apprécie particulièrement. Cette discussion à la nuit tombée semblerait étrange à des tas de gens mais pour moi c’est normal. Je suis un peu la peluche de Franks. Ne me demandez pas comment c’est arrivé, je ne m’en souviens plus très bien. Je suis apaisé quand je suis en sa présence & je crois que c’est la même chose pour elle, c’est tout. « Bonsoir toi. J’approuve totalement le t-shirt. Ça faisait un bail que tu n’m’avais pas fait le coup de la visite nocturne ». Quand elle glisse son nez dans mon cou je comprends qu’elle est vraiment frigorifiée. Ou elle a peur, peut-être. Mais la connaissant j’ai très peu de chance de savoir un jour. Franks n’est pas le genre de personne qui reconnaît facilement qu’elle a peur. Toujours est-il que sa peau et gelée alors moi j’ouvre grand mes bras pour la prendre dedans. J’espère juste que ça lui permettra de se réchauffer un peu, que je serve au moins à quelque-chose. « Je t'ai manqué, avoues-le ». Un petit rire léger sort de ma gorge. Il y a très peu de personnes avec qui j’arrive à être comme ça, avec qui vivre me paraît facile. Je ne vois pas souvent Franky mais je sais qu’elle est l’une de ces personnes. Elle a une nature, un caractère qui permet de dédramatiser le monde. Je ne saurais pas vraiment expliquer… « Trop ! D’ailleurs tu crois que je dormais mais je chialais sur ton absence ». J’essaye juste de la faire sourire, un peu. Ce soir je ne sais pas ce qu’elle a & ça me préoccupe. Même si ce n’est pas grave, ça me préoccupe quand même. Je suppose que c’est une chose naturelle. Je n’y connais rien aux choses naturelles. « Dis moi plutôt pourquoi t’es là ». Ce n’est pas un reproche parce qu’elle sait qu’elle ne me dérange pas, ça fait longtemps qu’elle sait. C’est juste que je m’inquiète toujours un peu facilement quand je tiens à quelqu’un. Pour moi c’est quelque-chose de rare, de précieux, alors…
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D. Franky Ariel Hemingway

D. Franky Ariel Hemingway

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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptyDim 9 Déc - 20:38


Oh mon égérie, quittons ce bitume qui nous rend gris, nous abrutit et salit nos plumes.


Heureusement qu'il lui ouvre les bras, heureusement qu'elle trouve une place contre lui, heureusement qu'elle commence à se réchauffer doucement. Ses mains glissent dans son dos et se posent doucement contre sa peau, hésitante un peu. Des fois Franky ne sait plus vraiment ce qu'elle fait, si c'est bien ou non, si elle a le droit ou pas, pour elle oui, elle a le droit, elle est la Queen de Poudlard. Mais quand la nuit tombe et que la peur lui tenaille le ventre de cette manière, elle ne sait plus vraiment beaucoup de choses, elle oublie, elle essaye de ne pas y penser, comme si la nuit et l'orage pouvaient tout effacer en elle. Oh oui, elle en oublierait tellement de choses, elle serait plus libre. Et ce petit bout de liberté elle vient le trouver dans le lit d'Evan, dans sa présence rassurante. Qu'est ce qui les rapproche comme ça, franchement ? Rien de spécial, un orage, une peur, et puis surtout de la musique et de la drogue. En fait il est bien ce petit nid qu'elle s'est faite ici, l'air de rien. Doucement, elle enfouit son visage dans son cou, et maintenant elle doute un peu de l'avoir réveillé, peut-être même qu'il dort jamais Evan. « Bonsoir toi. J’approuve totalement le t-shirt. Ça faisait un bail que tu n’m’avais pas fait le coup de la visite nocturne » Franky sourit un peu à la remarque du t-shirt tout en pensant qu'elle aurait quand même préférée prendre un bas en partant avec, parce que dormir juste en t-shirt XXL, ça le fait moyennement quand il fait froid.
Franky reste blottie contre lui, se refusant même à penser à un moment de partir. Ses jambes finissent par s'emmêler avec celles du Poufsouffle, toujours entrain de gratter de la chaleur, et puis surtout pour prendre le moins de place possible, elle se voyait bien tomber du lit parce que, oui, ça lui était déjà arrivée de tomber. Evan qui prend toute la place et qui dort en ronflant presque, il en oublie la Hemingway qui se casse la gueule en beauté sous le regard des autres Poufsouffles qui se demandent bien ce qu'elle fou là. « Trop ! D’ailleurs tu crois que je dormais mais je chialais sur ton absence » Quel con. Franky se met à pouffer un peu et finit par retirer ses mains de son dos pour les poser sur son torse, se décollant de lui pour pouvoir l'observer droit dans les yeux. Elle plisse les yeux et hoche finalement la tête. « T'as les yeux rouges comme si t'avais chialé toute la nuit effectivement mais moi je pense surtout que t'as pris des trucs qui font planer... t'en as pour moi ? » Elle fait une tête de chat botté et effleure sa peau avec ses ongles, comme si ça allait l'inciter à lui donner. Oui elle fait la mignonne tout ça pour planer un peu, mais c'est drôle de planer à deux, et elle sait qu'Evan a tendance a être tout le temps à côté de la plaque, au point que ça l'inquiète un peu quand même des fois.
« Dis moi plutôt pourquoi t’es là » Elle fronce un peu son nez, elle est contrariée, elle n'aime pas quand on lui pose cette question là, il sait très bien pourquoi elle est là, et pourquoi elle tremble toujours malgré la couverture, malgré ses bras autour d'elle. Maintenant, elle n'a presque plus froid, c'est toujours la peur qui la bouffe de l'intérieur. Finalement elle doit comprendre pourquoi Evan prend des trucs tout seul, pour ne plus avoir peur sans doute. Elle se mord un peu la lèvre à cette pensée et le regarde. Ca doit être bien de ne plus avoir peur, mais ses peurs à lui doivent être plus importantes qu'une simple peur de l'orage. Alors Franky pose son front contre le sien doucement et murmure. « … l'orage. » Et voilà, Miss Hemingway a honte maintenant, elle retire son front et détourne le regard en se mordillant nerveusement la lèvre. Franky du soir, si différente de celle de la journée, à croire que l'orage la rend chaton, à croire qu'elle laisse un peu tomber le masque. Mais jamais elle ne se risquerait à dire qu'elle a peur, non, elle se contente de dire ''l'orage'' comme si Evan allait comprendre. Il a comprit. Elle l'espère du moins. « Pourquoi tu ne dors pas ? » lui murmure-t-elle finalement doucement. Ce sont quoi tes peurs à toi, Evan ?
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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptyMar 11 Déc - 18:56


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Eviel

PEU A PEU TES SONGES S’ÉVAPORENT, ET TU PENSES PAREIL QUE MOI

Mais nous on rit, tu me fais boire, on finit vite sur le trottoir, perdus cette nuit...
Moi, la nuit, je vois la lune qui se dédouble & qui court dans le ciel. Je suis capable d’observer des paradis que je n’atteindrais jamais. Tout ça donne à ma vie un petit truc poétique. Je sais que tout ça me tue tout doucement mais je n’en ai pas grand-chose à foutre pour le moment. Profiter. Profiter de la vie. Le mot d’ordre, le maître mot. Peu importe le reste. Je sais que des tas de gens ne comprennent pas la manière dont j’ai choisi de vivre mais je tends à croire que Franky ne jugera jamais cet aspect de ma personnalité. On n’a qu’une seule vie, libre à nous de choisir ensuite dans quelle direction on souhaite l’orienter. Qui a-t-il de mal à vouloir être libre ? Ca fait presque « question existentielle ». Je sais qu’aucune destinée hors du commun ne m’attend mais, le simple fait d’y croire encore un tout petit peu me permet d’appréhender le lever du Soleil jour après jour. Je vois Franks sourire, je constate aussi qu’elle regrette de n’avoir sur elle qu’un minuscule t-shirt. Sa peau est glacée. C’est peut-être un effet des trucs que j’ai pris mais il ne me paraît pas faire si froid ce soir…Je m’écarte un moment d’elle pour aller farfouiller dans la valise en-dessous du lit & dégoter une veste doublée en polaire. Je la passe avec douceur autour de ces épaules avant de la serrer de nouveau contre moi. Elle qui peut être si froide, qui semble si forte, me paraît si fragile ce soir. Tellement que j’ai peur de la briser. Alors, j’essaye de la protéger, de lui créer un petit nid au creux de mes bras. Je la protège de la nuit, de la cruauté de la vie. C’est peut-être éphémère mais ça donne un sens à l’instant présent. Seul point négatif ? Elle n’est pas obligée de poser ses mains gelées sur moi. J’avais bien chaud jusque-là ! « T'as les yeux rouges comme si t'avais chialé toute la nuit effectivement mais moi je pense surtout que t'as pris des trucs qui font planer... t'en as pour moi » ? Je souris. Elle sait. Elle n’est pas dupe. Elle me connaît bien. Bon, j’avoue que ce n’est pas trop difficile à deviner que je ne carbure pas qu’aux Haribo mais bon, peu de gens font assez attention à moi pour découvrir mon « petit secret ». Dans ces moments là, quand on plane tous les deux avec Franks, c’est un peu notre petit moment de répit, notre maigre solution pour fuir la réalité. Je frisonne parce que chacun de ses doigts est comme une décharge de gel contre ma peau, puis j’emprisonne ses mains dans les miennes pour tenter de les réchauffer un peu. « Hm. J’ai peut-être ça, à condition que tu arrêtes de vouloir me transformer en glaçon. Sinon tu pourras toujours chercher la caverne d’Ali-Baba & les quarante pilules toute seule ». J’agrémente le tout d’un rire que j’espère discret. Je ne suis déjà pas un élève modèle alors si je réveille l’intégralité du dortoir à une heure avancée de la nuit, avec en plus un individu de sexe féminin (bas oui, pourquoi vous croyez que les dortoirs ne sont pas mixtes…) dans mon lit, je me fais butter direct. J’ai beau être un kamikaze de la vie, les années qu’il me reste (on verra bien combien ça fait une fois mis bout-à-bout) me sont quand même un tantinet précieuses. Un silence s’ensuit, parce que j’ai sans doute formulé la question qui fâche. J’espère juste que je ne l’ai pas froissée…« … l'orage ». Alors je sais pourquoi. Franky Hemingway n’a jamais peur. Personne n’est d’ailleurs habilité à la voir flancher. Je pourrais me venter d’avoir assisté à quelques moments de faiblesse mais elle reste tout de même insaisissable, hors de portée. J’ignore comment elle fait. Toujours est-il que je comprends qu’elle est angoissée par l’orage. Je sais aussi qu’il n’y a pas lieu d’épiloguer la dessus & qu’elle espère que je l’ai comprise. Nous communiquons aussi bien silencieusement qu’avec des mots. Ce n’est pas donné à tout le monde ce genre de chose. Ça ne nous est d’ailleurs pas donné tout le temps. Il y a juste ces moments furtifs ou tout semble simple. « Pourquoi tu ne dors pas » ? Ahaha, très bonne question. Tellement bonne que je ne sais même pas si je détiens la réponse. Je ne prends jamais vraiment le temps d’y réfléchir. Il y a des nuits ou je trouve le sommeil, d’autres ou je rêve sans fermer les paupières. Tout cela me semble naturel. Faut dire que ça dure depuis des années. Pourquoi je ne dors pas ? Hm. Je n’en ressens pas l’envie ? J’ai peur ? Se détruire consciencieusement & pourtant rester la proie de terribles angoisses, c’est l’euphémisme le plus stupide du monde. « J’ai pris des trucs mais leur effet passe pas vraiment. Des somnifères aussi. Je crois que j’ai un petit peu peur de ne pas me réveiller si je m’endors. Dans le fond ce n’est pas grave, c’est juste que je suppose qu’on doit se préparer à ces trucs-là. Laisses tomber, je dis que des conneries ». Je la serre un peu plus dans mes bras, peut-être parce que le froid m'a gagné, pour me rassurer aussi.

J'ai pris mes somnifères, j'ai les yeux dans les airs, crois-moi.

HS:
Je trouve ça court & moche, je vais me pendre, je reviens plus-tard u_u
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D. Franky Ariel Hemingway

D. Franky Ariel Hemingway

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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptyVen 14 Déc - 19:57

« Hm. J’ai peut-être ça, à condition que tu arrêtes de vouloir me transformer en glaçon. Sinon tu pourras toujours chercher la caverne d’Ali-Baba & les quarante pilules toute seule » Franky sourit et hausse les épaules, elle n'avait pas besoin de chercher longtemps, ils étaient forcément planqués dans le dortoir et dans les affaires du Poufsouffle, il n'y avait pas mille chose à faire pour les trouver. Cependant, la flemme, le froid et la peur l'en empêche, alors même si elle tente de se trouver un peu de chaleur auprès d'Evan, elle se dit qu'elle peut faire un effort pour une pilule magique. Heureusement qu'il est prévoyant et qu'il lui pose l'une de ses vestes sur les épaules, elle en profite alors pour se décoller de lui et se lover dans la veste. « Hm, elle sent toi. » Elle murmure doucement avant de fermer un peu les yeux. Il faut dire que tout sent Evan ici, puisque c'est son lit, mais sa veste elle sent encore plus parce qu'il y a son parfum dessus. Elle entrelace alors ses doigts à ceux du Jaune et lui sourit un peu en guise de remerciement. Une Franky adoucie, peu de gens peuvent vraiment se vanter de l'avoir déjà vu comme ça en réalité, seulement Phoenix sans doute, et puis Rudy un peu.
« J’ai pris des trucs mais leur effet passe pas vraiment. Des somnifères aussi. Je crois que j’ai un petit peu peur de ne pas me réveiller si je m’endors. Dans le fond ce n’est pas grave, c’est juste que je suppose qu’on doit se préparer à ces trucs-là. Laisses tomber, je dis que des conneries » De toute manière elle le comprend, enfin elle n'arrive pas à saisir toute la subtilité de la situation puisqu'elle n'y est pas habituée -pour elle sa vie a toujours été facile, certainement grâce à Phoenix. Mais quand ils sont ensembles, tout les deux, ils peuvent oublier leurs vies juste l'espace d'un moment, ils peuvent mêler leurs caractères, mais oublier tout le reste. De toute manière à quoi ça sert la vie quand on peut être allongée toute la nuit à regarder la lune par la fenêtre en prenant des pilules et en fumant des joints. « Tu pourrais essayer de dormir après, je serais là, je te réveillerais le matin, promis. Mais pas maintenant. Maintenant c'est toi et moi. » Et elle sourit avant de se redresser un peu dans le lit pour finalement s'asseoir en tailleurs, réajustant la veste sur son épaule. Maintenant il fallait vivre, il fallait profiter. Elle pose alors son doigt sur le nez d'Evan et lui sourit. « Tu vois, je me suis un peu réchauffée alors tu me dois quelque chose. Et puis si t'as un petit truc à fumé tu sais, et puis... J'te rendrais tout ça, je t'inviterais dans mon lit un de ces quatre et on se fera la même, okay ? Parce que là j'ai rien pris avec moi à part ma culotte et mon t-shit tsais et je trouve déjà cool de pas les avoir oublié. » La voilà qui se met à rire à préset avant de cacher ses lèvres avec sa main pour atténuer le son, elle a oublié l'espace d'un moment qu'elle était dans un dortoir et que si elle se mettait à rire super fort, elle allait tous les réveiller.
Franky retire son doigt et penche sa tête sur le côté avant de sourire, et elle fait un signe de la main à Evan pour qu'il s'assoit aussi. Regarder la lune et se serrer un peu quand l'orage éclate, elle aimait bien ça. Et puis surtout ne pas faire trop de bruit pour pas réveiller les autres, se moquer de tout et passer un bon moment. Au final ils finissaient quand même par s'endormir à un moment ou a un autre, et le matin Franky se réveillait sous les regards des Poufsouffles un peu sceptique. Certainement que la Queen se tape Evan, sinon ils comprennent pas ce qu'elle fait là assez souvent. Et finalement la Hemingway se jette littéralement au cou du brun pour se serrer contre lui. « Fais moi un câlin, ma peluche ! » Et elle sourit.
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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptyJeu 3 Jan - 23:55


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Eviel

PEU A PEU TES SONGES S’ÉVAPORENT, ET TU PENSES PAREIL QUE MOI

Que pourrait-il nous arriver, si on restait là sans bouger ?
Okay. C'est pas très difficile de trouver ou je planque toutes mes provisions, si on me connaît & qu'on cherche un peu...J'aurais tenté au moins. Puis c'est Franks alors je sais qu'à tout moment elle peut faire une tête toute mignonne pour que je cède. Elle sait que je céderais. En gros cette histoire tourne en rond, vraiment. Une fois la veste sur ses épaules, j'ai l'impression qu'elle a un peu moins froid. Tant mieux, ça a l'effet escompté au moins. Elle se décolle de moi ! Bye bye les mains glacées contre ma peau innocente qui n'a absolument rien demandé ! Finalement je me penche encore une fois & extrais de sous mon matelas un petit sachet qui contient une...certaine quantité de petites pilules blanches. J'en prends une & la dissimule dans ma main parce que la victoire serait trop facile pour elle si elle obtenait tout de suite le cachet magique. « Hm, elle sent toi ». Je ris, elle est dans mon lit c'te squatteuse là. Elle s'attendait à ce que ça sente quoi ? L'odeur de la forêt & des pins ? En vrai ce serait stylé, c'est une odeur agréable. C'est celle de la forêt & j'aime beaucoup me promener dans la forêt. C'est inspirant pour composer & plutôt ressourçant de manière générale. Un endroit calme. Okay, j'avoue que mon esprit bouillonne les trois quarts du temps mais...Quand je trouve un petit laps de temps pour la quiétude, c'est pas mal. Je passe ma main dans les cheveux de Franks, démêlant lentement ses mèches avec mes doigts. Je sais qu'elle me laissera faire, au moins cette fois-ci. Je sais que tout est aléatoire avec elle mais aujourd'hui c'est particulier, c'est un soir d'orage, alors je « poursuis mon œuvre. « Bas oui, t'es dans mon lit & lovée dans ma veste, banane » ! Je souris dans l'obscurité. Le seul truc qui nous éclaire est la fenêtre puisque les rideaux ne sont pas fermés & que les éclairs zèbrent le ciel. Je ne la vois pas très bien. Alors elle ne verra peut-être pas mon sourire. Comme elle ne verra pas les légers tremblements de mes mains, signe des choses cheloues qui habitent mon organisme en quasi-permanence. « Tu pourrais essayer de dormir après, je serais là, je te réveillerais le matin, promis. Mais pas maintenant. Maintenant c'est toi et moi ». Non ! Je fais constamment des conneries dont j'ai très peur alors j'en paye le prix. C'est la moindre des choses. Je n'ai pas envie de faire une overdose ou un coma dans mon sommeil, pas si Franks s'endort aussi. Alors je vais garder les yeux ouverts le plus longtemps possible, quit-à ingurgiter d'autres trucs. Ne cherchez pas de logique à ma vie, il n'y en a aucune. Je secoue négativement la tête & tente de la rassurer avec un sourire. Si jamais elle s'inquiète, je ne sais pas en fait... « Tu vois, je me suis un peu réchauffée alors tu me dois quelque chose. Et puis si t'as un petit truc à fumé tu sais, et puis... J'te rendrais tout ça, je t'inviterais dans mon lit un de ces quatre et on se fera la même, okay ? Parce que là j'ai rien pris avec moi à part ma culotte et mon t-shit tsais et je trouve déjà cool de pas les avoir oublié ». Bien sûr ! Je me pointerais dans son lit & les filles du dortoir ne me prendront pas du tout pour un pervers opportuniste, du tout. Décidément je me sens toujours d'humeur joyeuse quand Franky est là. Je pense qu'elle a un pouvoir magique qu'elle ignore. Celui de faire rayonner les gens, de leur transmettre sa propre luminosité naturelle. C'est un pouvoir très puissant. Un jour je lui dirais. Un jour...Si je vis assez longtemps. Bon, revenons à des choses plus terre-à-terre...J'ai rien à fumer ! Mais je sors ma pilule magique pour faire une surprise, je prendrais la mienne après. Je ne montre pas le contenu de ma main à Franky. « J'ai peut-être LE truc qu'il te faut. Mais il faut que tu fermes les yeux & que tu ouvres la bouche. Fais moi confiance ». Est-ce qu'elle me fait confiance au moins ? Ça non-plus je sais pas. Mais je me redresse sur le lit pour m’asseoir avec elle. L'éclat de la Lune est toujours différent quand l'orage éclate. Moi je trouve ça joli. Poétique. Mais je suis peut-être un peu trop shooté, je ne vis pas dans le monde réel. Sûrement. « Fais moi un câlin, ma peluche »  ! & je la prends dans mes bras, en gentille peluche.

The smell after the rain.
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D. Franky Ariel Hemingway

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YELLOW QUEEN ▽ admin

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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) EmptyVen 1 Fév - 22:32

Franky regarde un peu Evan et elle sourit, elle aime bien être ici, squatter le dortoir des mecs parce que c'est tout de suite mieux que celui des filles, c'est moins gnangan et ici personne ne se crie dessus et se tire les cheveux pour savoir qui a prit la crème de qui. Ici c'est putain de cool quoi. Et immédiatement, la Hemingway se sent presque comme à la maison, comme quand elle squattait le lit de Phoenix quand elle était petite. Et quand Evan passe ses doigts dans ses cheveux, elle ferme un instant les yeux et profite tout simplement. Ca fait trop longtemps qu'on a oublié que Franky aussi c'était une fille, que derrière sa grande gueule et ses tabassages quotidiens, elle restait une personne en demande d'affection. Et ça, pour l'instant ça lui suffit. Surtout qu'avec l'orage, elle n'est pas vraiment ce qu'elle semble être en journée, elle n'est pas trop la Franks qui casse la gueule à tout le monde. Mais ça, si Evan le répète, elle lui fait une tête au carré ouais ! « Bas oui, t'es dans mon lit & lovée dans ma veste, banane » La Poufsouffle fait mine d'être outrée, mais elle n'est pas sûre que Evan le voit, c'est à peine si elle capte son sourire dans le noir. Mais c'est cool, elle aime bien comment il sent Evan, elle aime bien être dans son lit et puis passer la nuit à parler, ça lui fait oublier l'orage, elle a sa peluche personnelle et c'est vraiment cool. Et comme ça elle peut embêter Rory des fois aussi en lui lançant des trucs dessus ou en lui mettant pleins de couvertures les unes sur les autres. Histoire de l'étouffer dans la nuit. Franky elle fait des bêtises et elle est bien là, mais elle n'ose pas vraiment l'avouer. Franky elle est bien nul part, voilà. Tempermental, like a heart without a home.
« Heureusement que tu sens pas le troll, ça puerais la mort par ici. » qu'elle lâche comme ça sur le ton de la conversation, l'air de rien, avant d'éclater de rire. Rapidement elle se maîtrise pour rire doucement et sa main ébouriffe les cheveux d'Evan. Elle ne comprend pas pourquoi il refuse de dormir même si elle veille sur lui, et elle soupire, elle fronce un peu les sourcils. C'est vrai que ça l'inquiète des fois, mais elle ne peut pas le forcer s'il n'en a pas envie. Elle pourrait, genre elle pourrait lui donner un coup sur la tête comme ça, pour qu'il se taise, et pour lui signaler qu'il a intérêt à dormir pour ne pas avoir plus de représailles. Mais elle ne fait rien, elle se contente de l'observer. Si Evan s'égare tous les soirs dans la vingt-cinquième heure, elle devait quand même s'inquiéter un peu, sinon elle allait se marrer avec qui en cours maintenant ? « J'ai peut-être LE truc qu'il te faut. Mais il faut que tu fermes les yeux & que tu ouvres la bouche. Fais moi confiance » Tiens, vraiment ? Mais la Queen ne fait pas confiance aux gens, elle se fait confiance à elle-même et puis aux Kings aussi, mais le reste, elle s'en méfie un peu en fait. Alors elle observe un instant le Poufsouffle et ne bouge pas d'un poil.
Mais il répond à sa demande, et il lui fait un câlin, sa gentille peluche. Alors elle le serre un peu dans ses bras et puis se décide. OKAY, elle lui ferait confiance, pourquoi pas ? Elle a quoi à perdre de toute manière ? Pas grand chose. Alors Franky ferme les yeux et attend, elle ouvre un peu la bouche finalement et patiente. Et puis une idée lui traverse l'esprit alors elle la dit à haute voix, sans pour autant rouvrir les yeux. « Eh, tu me joue de la guitare ? Faudrait peut-être lancé un sort pour que les autres ils entendent pas t'sais, mais t'es dans l'obligation de me jouer de la guitare. En plus t'as vu, je te fais confiance, c'est à double sens, je te fais confiance, tu me dois un morceau de guitare. » Non, ce n'était pas équitable, mais quand on est une Hemingway, rien n'est équitable en fait. Et les yeux fermés, elle attend toujours que Evan lui donne LE truc qu'il lui faut.
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MessageSujet: Re: peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN)   peu à peu tes songes s'évaporent, et tu penses pareil que moi. (EVAN) Empty

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