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 ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES

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MessageSujet: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 5:49


feat Ross Crawford, (c) AMIANTE
Arthur "Absinthe" Charles de Valmont


“ Moi, je suis, débraillé comme un étudiant, Sous les marronniers verts les alertes fillettes. „

▽ NOMS & PRÉNOMS : « En me mettant au monde, mes parents avaient déjà une idée très claire de mon avenir – je soupçonne d'ailleurs ma mère de posséder quelques affinités avec le troisième œil – et ont choisi de me donner les prénoms de deux de nos plus illustres poètes français : Arthur et Charles, naturellement suivi du noble héritage de Valmont. Mais, avec les années, le surnom d'Absinthe est venu tout naturellement compléter le tout. » ▽ ÂGE : « Bien que cela me semble remonter à un très grand nombre d'années, cela fait à peine seize ans que l'on m'a extrait du ventre de ma génitrice qui m'a si généreusement porté durant ces neuf longs mois, je vous prie de l'applaudir. » ▽ ANNIVERSAIRE : « Pour les cadeaux, je me contenterais d'une bouteille de vin français. Préférez le rouge ou encore le rosé au blanc que j'ai tendance à moins aprécier. Ah oui j'allais oublier mais ça sera pour le vingt-quatre février. » ▽ ORIGINES : « Au cas où vous ne l'aviez pas encore compris et que mon accent – bien qu'il soit, avouons-le, à couper au couteau – ne vous ait pas mis la puce à l'oreille, je suis bel et bien français. ▽ ORIENTATION SEXUELLE : « Il est stupide de chercher à vouloir mettre des étiquettes partout. Je ne m'arrête pas devant pareilles distinctions. Or à défaut de trouver une âme qui rivaliserait avec la mienne, je suis en quête de la beauté du corps, qu'il soit féminin ou masculin, seul le plaisir m'interpelle. » ▽ PROFESSION OU ANNÉES D'ÉTUDE : « Je suis poète à mes heures perdus ou poète perdu parmi ces sombres couloirs où j'ai été contraint d'errer de sorte à parfaire mon éducation, depuis six années déjà. Je m'en serais bien passé, croyez-moi. » ▽ SORCIER/ANCIEN MOLDU/CRÉATURE : « De par ces pouvoirs qui m’ont été conférés par la grande nature, je fais partie de la communauté sorcière, celle-là même qui a été pourchassée assidument durant plusieurs siècles par de vulgaires avortons, piqué par la mouche de la jalousie, sous l’étendard stupide d’un vieillard illuminé se croyant possédé par une force supérieure. » ▽ NATURE DU SANG : « D’après l’arbre généalogique de notre noble famille oubliée, il semblerait qu’il soit resté pur, malgré les temps qui courent. » ▽ TU CONNAIS LA MAGIE DEPUIS : « Depuis le coin reculé dans la campagne française, où nous logions, j’ai pu assisté à ces phénomènes étranges bien avant même que je sache marcher ou parler. » ▽ TU POSSÈDE UNE BAGUETTE : « Tout bon jeune homme de mon rang se doit de posséder pareil instrument, je ne vois pas pourquoi je devrais recourir à un moyen illégal pour m’en procurer une. » ▽ ÉPOUVANTARD : « C’est assez délicat, voyez-vous, lorsque pareil créature croise mon chemin, elle se transforme en une sorte de vieillard croulant rassemblant une partie de mes traits... J'aurais ainsi peur de vieillir. » ▽ PATRONUS : « Il vous semblera sûrement reconnaître un ornithorynque, cet animal merveilleusement incongru, dans la silhouette lumineuse qui s’échappera de ma baguette, lors d’un tel sort. »


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Ô mort mystérieuse, ô sœur de charité !
Tu flottes. Tu planes au-dessus d’tout. Plus rien n’semble pouvoir t’atteindre. Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Elles sont là, les effluves apaisants qui chatouillent tes narines. Les couleurs chatoyantes combattant cet horizon plombé. Le rythme d’la musique résonne dans tes tympans et pulse dans ton cœur. Tout l’monde est beau. Tout l’monde est gentil. Tout l’monde est ton ami. Tout va bien dans le meilleur des mondes. Ou pas. Car la fin est proche. Tu la sens. Le poison doucereux pourrit déjà ton sang depuis trop longtemps. T’as déjà trop vécu. Vingt-sept ans, c’est long, beaucoup trop long. Hommage à tous les grands morts avant toi à cet âge. Morrison dans sa baignoire. Hendrix étouffé. Bang. Le flingue sur la tempe et l’sang d’Cobain qui s’répand sur le mur. Pupilles dilatées, le cœur qui bat trop vite, trop fort. Tu t’meurs. Plus d’héro ou de coke, d’ecsta ou d’lsd, que sais-je encore dans l’système que d’sang dans les veines. Présences rassurantes. Tes seules amies. Elles te guident vers l’achèvement, l’apothéose d’ton âme. Y’a c’rire dément tout droit sorti de l’hospice. Ta gorge qui prend feu. T’es plié en deux. Les regards se retournent, pèsent sur ton maigre corps. Tu les ignores, d’toute ta superbe. Roi sans terre, prince sans couronne. L’air n’rentre plus, trop de secondes s’écoulent entre deux battements de cœur. Et l’rictus malsain, n’arrange rien. T’attends sagement qu’la faucheuse vienne. Encagoulée, elle t’emportera dans ses bras, vers l’éternel repos. T’abandonnes ton corps, enveloppe charnelle, tu flottes dans les airs, ange sans ailes, diable sans corne. Extinction des feux. Tu fais tes adieux.

« Un vent triste se lève en cette matinée. Hier soir, le jeune Arthur Charles de Valmont s’est éteint hier soir, à seulement vingt-sept ans, en raison d’une surdose d’un mélange de diverses drogues. Nous ne savons pas encore s’il s’agit d’un accident ou d’un suicide, bien que les quelques proches du poète affirment qu’il avait toujours eu l’intention de mourir jeune et qu’il semblait s’ennuyer beaucoup ses derniers temps, sans compter que l’augmentation progressive de sa consommation de substances illicites en inquiétait plus d’un. Toutefois, si l’artiste est mort, l’œuvre déjà acclamée par de nombreux contemporains, restera éternelle. Des rumeurs laissent entendre qu’il a laissé de nombreux écrits non publiés qui devraient voir le jour d’ici peu de temps. »


▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES 693034tiredofpeople
la morale est la faiblesse de la cervelle
Absinthe se prend pour la réincarnation d’Arthur Rimbaud, rien que ça ✓ Absinthe se revendique avant tout anticonformiste et déteste faire la même chose que les autres ✓ Absinthe ne veut surtout pas vivre vieux et compte mettre fin à ses jours avant ses quarante ans ✓ Absinthe se prend un peu trop au sérieux en général ✓ Absinthe est un véritable junkie, quasiment toujours sous l’influence d’une quelconque drogue ✓ Absinthe a toujours une flasque d’alcool, un paquet de clopes et un joint sur lui ✓ Absinthe a tendance à devenir très tactile sous l’influence d’une forte dose d’alcool, s’amusant souvent à flirter outrageusement avec la première personne qui lui tombera sous la main, pour s’enfuir – ou s’endormir selon les cas – soudainement avant de conclure ✓ Absinthe justifie ses consommations excessives en proférant à quiconque voudrait l’entendre qu’elles l’inspirent considérablement dans son œuvre ✓ Absinthe ne montre jamais ses écrits à quiconque ✓ Absinthe est persuadé d’être incompris par ses semblables et contemporains, c’est pourquoi il écrit "pour la postérité" ✓ Absinthe pense qu’il ne pourra être compris qu’à la fin du siècle ✓ Absinthe est en réalité à moitié anglais, bien qu’il ne veut pas l’avouer et exagère très certainement son accent frenchy ✓ Absinthe s’entiche facilement de quelqu’un ou quelque chose pour s’en lasser tout aussi facilement ✓ Absinthe a tendance à s’intéresser aux personnes qui lui sont inaccessibles, jusqu’à virer dans l’obsession avant de l’avoir obtenu, pour s’en désintéresser totalement une fois chose faite ✓ Absinthe se comporte plutôt froidement avec ses anciens amants, ainsi qu’envers les personnes qu’il juge sans intérêt ✓ Absinthe n’hésitera pas à utiliser tous les moyens à sa disposition pour parvenir à ses fins, il peut ainsi devenir assez manipulateur ✓ Absinthe, bien que cela ne saute pas aux yeux au premier abord, est plutôt rusé ✓ Absinthe s’ennuie très facilement ✓ Absinthe pense être atteint par son propre "Mal de Siècle" ✓ Absinthe possède de fortes tendances à la mégalomanie ✓ Absinthe est avant tout quelqu’un de solitaire, qui reste dans son monde pour se complaire dedans ✓ Absinthe est particulièrement souple et agile ✓ Absinthe se réfugie souvent en haut d’un arbre pour écrire et/ou fumer ✓ Absinthe est légèrement paranoïaque ✓ Absinthe voit des théories de complot un peu partout ✓ Absinthe se méfie de tout le monde, ce qui n’aide pas sa nature antisociale ✓ Absinthe est peu attentif en cours, préférant griffonner quelques vers ou quelques dessins, en particulier des caricatures, sur ses parchemins plutôt que de prendre le cours ✓ Absinthe possède d’ailleurs un très bon coup de crayons ✓ Absinthe est de nature plutôt lunatique ✓ Absinthe boit toujours une tasse de thé au lait le matin, sans sucre ✓ Absinthe fait très rarement le premier pas vers une personne, à moins d’un de ses fameux "coups de foudre" ✓ Absinthe a tendance à se comporter comme un animal nocturne, préférant piquer des sommes pendant la journée et déambuler au clair de lune ✓ Absinthe s’endort souvent dans des endroits incongrus et d’oublier ce qu’il faisait là en premier lieu ✓ Absinthe tient ses goûts musicaux de sa mère ✓ Absinthe ne supporte pas la musique moderne, ses styles préférés restant le classique, le jazz ainsi que le rock ✓ Absinthe admire beaucoup Frédéric Chopin, Duke Ellington, Jimi Hendrix et Kurt Cobain ✓ Absinthe veut faire le tour du monde à sa sortie de Poudlard ✓ Absinthe a toujours l’air de sortir d’une nuit torride avec ses cheveux légèrement décoiffés et sa tenue débraillée.


sinon t'es qui toi ?

▽ PSEUDO IRL : AMIANTE, rien que ça ▽ ÂGE : seize ans et toutes mes dents ▽ PAYS : j’squatte la capitale de l’empire du milieu, ouais. ▽ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS TU FAIS DU RPG : ouh la la, depuis une demi-douzaine d’années j’dirais, interrompue par d’longues pauses ▽ PERSONNAGE PRÉFÉRÉ DE LA SAGA : Le Baron Sanglant DRACOOO *PAN* ▽ TON SORT FAVORI : Sectumsempra, plein de BLOOD de partout :bave: (sinon j’suis normal hein) ▽ COMMENT TU AS CONNU FIZWIZBIZ : Il me semble que c’est Bazzart ? À moins que ça soit PRD... ▽ TA FRÉQUENCE DE PASSAGE : j’suis un bon petit geek, j’passerais sûrement tous les jours ou presque. ▽ TA PREMIÈRE IMPRESSION : « OMGAY C’EST COLORÉ ! » oui je sais, c’est très constructif. ▽ LE MOT MAGIQUE : my fizwizbiz milkshake brings all the muggles to hogwarts ! (c’quoi c’te façon de cacher les codes, j’ai jamais passé autant de temps sur un règlement ->) ▽ UN DERNIER MOT ? j’vous baise :fuckstan:


Dernière édition par Absinthe C. de Valmont le Sam 8 Déc - 9:54, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 5:52



UNE SAISON EN ENFER


“ Elles le savent bien ; et tournent en riant,
Vers moi, leurs yeux tout pleins de choses indiscrètes „


« A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles
Golfes d'ombre ; »

Noir. Sombre couleur des caractères qui apparaissent sur le papier. Tracé soigneux au fil de ta plume. Des mots qui te hantent. Ton cœur à la blessure béante. Des phrases, pareil à du sang qui s’en écoule. Souffrance qui envahit tes sens. Crève en silence. Ça s’écrase sur la feuille et s’y imprègnent tout naturellement. L’écriture n’est jamais qu’un cri que l’on pousse hors de soi. Tes hurlements couchés sur le papier. Toute ta pensée. Le crayon est ton seul ami. Il danse sur la feuille, virevolte entre tes doigts. Les mots se tracent. Les formes se dessinent. Quelques vers. Un visage fin, empreint d’un charme certain. Toujours ce même besoin viscéral. Un démon qui t’habite, te possède de la façon des plus malsaines qui soit. Tu t’laisses alors guider, comme envouté, ensorcelé. Tu griffonnes frénétiquement. Perché sur une branche d’arbre, planté au milieu des pelouses, les jambes qui balancent dans le vide. Tu domines le monde du haut de ton juchoir. T’observes tout sans te faire voir. Le carnet se remplit peu à peu de noir. Croquis se mêlent aux fragments de texte. Et puis, plus rien. Ta main reste bloquée. La mine refuse de lui obéir. L’inspiration vient de te quitter aussi soudainement qu’elle t’es apparue. Esprit fugace. À la manière d’une beauté fugitive. Sourcils froncés, cheveux en bataille, vêtements débraillés, tu sautes lestement sur le sol. Tel un félin accompli qu’atterrit toujours sur ces pattes. Tu retrouves le confort d’un fauteuil de la salle commune. Tes yeux parcourent ton œuvre. Une douce moue se dessine sur tes lèvres rosées. Tes doigts fins se referment sur la page si fragile. Très vite transformées en ogres voraces. T’arraches. Tu froisses. Tu jettes le tout à la cheminée. Tu laisses ton regard vagabonder dans les flammes, savourant les nuances rougeoyantes. Mauvais. Minable. Lamentable. Les feuilles brunissent et noircissent presque instantanément avant de tomber en miettes et disparaître. Goinfre aux éclats brûlants. Tu sens la rage parcourir tes veines. Trop pitoyable, pathétique pour retenir ton attention. Tu caresses l’idée d’y jeter le calepin entier. De le regarder se consumer. Se faire dévorer de toute part. Machinalement, ta main part à la recherche d’un spliff que tu portes à tes lèvres. La magie prend possession du bout incandescent. Les volutes de fumées s’en échappent, montent, grondent. Tantôt nuages ombrageux prêts à déverser leur colère. Tantôt formes fantasmagoriques, porteuse de rêves en tout genre. Le calme revient par vagues, doucereux, bienfaisant, reposant. Tu te sens mieux. Quelques pages survivent à l’autodafé. Comme épuisé par ce soudain effort, ton maigre corps s’affale sur le siège moelleux. Tu te laisses doucement voguer jusque dans les bras de Morphée. Tu te souviens de cette immense bibliothèque qui occupait quasiment toute une aile de votre manoir familial. Les poètes y côtoyaient romanciers moldus et sorciers, des récents aux antiques en passant par les ouvrages obscurs sortis en quelques exemplaires seulement. Légendes oubliées de tous depuis bien longtemps, si elles ont pu en marqué certains. La lecture t’est venue très jeune. Ne trouvant rien pour t’occuper durant tes tendres années, alors que tes parents passaient le plus clair de leur temps à s’éviter au sein de l’immense bâtisse. Tu restais, coincé entre ces quatre murs, à feuilleter livres sur livres. Ils étaient une échappatoire concrète à ce monde que tu jugeais déjà ennuyeux et sans grand intérêt. Chacun était comme une porte imaginaire. Un nouveau monde dans lequel tu pouvais gambader. De nouveaux paysages à explorer. De nouveaux personnages, hauts en couleurs, à rencontrer. Ni contrainte. Ni règle. Dans l’amusement le plus total. Tu te rappelles du jour de tes dix ans. Lorsque trop occupés à s’ignorer et s’engueuler, personne ne s’était souvenu de ton anniversaire. T’aurais dû être habitué à ce manque d’affection. Mais tu n’as pu retenir ces quelques larmes rouler sur ta joue, ce soir-là. Avant que tu ne t’assoupisses, tremblotant, dans un des canapés de la bibliothèque. Le bruit mat d’un objet tombant au sol te sortis brutalement de tes divagations nocturnes, le lendemain matin. Un livre sorti de nul part s’étalait à tes pieds. C’était une de ces éditions magnifiquement ouvragées, qui lui confère une sorte de fragilité, qu’il faut manier avec précaution. C’était différent de tout ce que t’avais pu lire à ce jour. C’était mieux que tout. T’avais lu, les yeux captivés par chaque moi, retenant presque ta respiration. C’était une révélation. C’était ce que tu voulais devenir. C’était Rimbaud.


« E, candeur des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles »

Blanc. Tu sens la poudre remonter dans ton nez. La drogue se répandre dans tes veines. Elle jette des étincelles dans tes yeux. Des arcs-en-ciel partout. Poison béatifique. L’extase dans le regard, tu t’abandonnes dans ses bras invisibles. À défaut de ceux que tes parents n’ont jamais pu t’offrir. Pas une once d’affection. Une parole rassurante. Seulement la froideur. Et jour après jour, ça empirait. Les rides creusaient leur front soucieux. La vieillesse, monstre hideux, les gagnaient peu à peu. Tu n’as jamais rien attendu d’eux. Ils ne servent à rien sinon qu’à fournir un toit au-dessus d’ta tête, des domestiques pour te nourrir et t’éduquer et surtout l’argent pour te fournir. Consommé en substances jusqu’au dernier gallion. T’as sombré dedans bien trop tôt, ne trouvant rien de mieux à faire, dès ton plus jeune âge, que d’te trainer dans quelques quartiers louches et fêtes trop arrosées. Côtoyer les petites gens de sorte à mieux sonder leur misère. Et la déesse inspiration s’en vient accentuer ta verve. Elle te pousse à bout. Elle te hante. T’as la tête qui tourne. Les membres qui tremblent. Les murs sont trop blancs et te défoncent la rétine. Des tâches écarlates y apparaissent, se répandent et envahit le tout à une vitesse folle. Qu’est-ce qui se passe ? Quelles sont ces ombres menaçantes qui se dessinent. Où es-tu ? Que fais-tu ici ? Tu tentes de te sauver, mais tu trébuches et perd l'équilibre. Heureusement, tu te rattrapes au dernier moment sur un de tes fournisseurs de came. Tu vois ce sourire carnassier se dessiner sur ses lèvres, il te propose un petit remontant, mais tu n'as plus d'argent. Il dit qu’il peut arranger ça et tu le suis, confiant. T’avais pas même quinze ans. Encore presque un enfant. Ton bras troué par les seringues d’héro, les narines défoncées par la coke. Ton corps frissonnant entre ses mains. Les caresses qui se font plus insistantes. Il avait déjà la main dans ton caleçon. Toi tu ne t’en rendais pas trop compte, trop perdu dans tes nuages, voguant à travers les cieux étoilés. Tu l’as laissé profité de toi, te voler le peu d’innocence qui te restait encore. Les derniers résidus de pureté et depuis t’as arrêté ces conneries. T’as toujours de l’argent sur toi et ta came enfouie dans les poches, on n’est jamais trop prudents. T’es seulement de plus en plus dépendant. Les effets durent moins longtemps. Il t’en faut toujours plus, c’est inquiétant. Spirale infernale. Gouffre profond. Tu goûtes au néant du bout des lèvres. Âme errante. Âme en peine. C’est l’ennui, vicieuse créature, qui plante ses griffes dans ton crâne. Léthargie morbide. Foutue langueur qui étreint ton cœur. C’est ce dégoût perpétuel qui laisse cet arrière gout amer dans ta gorge. Tu t’laisses échouer contre un mur, t’écroulant à même le sol. Poupée désarticulée. Jouet trop vite abandonné. Chaque geste n’est plus que souffrance. Ton corps réduit en douleur. Et soudain, c’est l’éclair qui traverse ton ciel obscur. Un regard. Un appel au secours silencieux. Beauté fugitive, disparu à peine aperçue. Ta vision se brouille, un voile obscur se lève. Tu t’es levé beaucoup trop vite. Comme mue par une force invisible, ton corps s’élance dans la nuit à sa poursuite. Tes enjambées sont de plus en plus grandes. Tu t’élances. Tu cours. Tu voles. L’oxygène sature tes poumons. Ton cœur bat si fort qu’on pourrait croire qu’il veut s’arracher d’ta poitrine. N’est-ce pas elle, au bout de la rue ? Tu bouscules tout ce qui se trouve en travers de ton chemin. Concert d’huées et de cris indignés. Mais tu t’en fous. Car tu y es presque. Si près du but. Mais évidemment, c’était trop beau pour être vrai. Il fallait que tu trébuches, que tu te prennes le pied quelque part. Que tu fasses un tête à tête avec le macadam. Putain de vie, va. Le temps que tu t’relèves, qu’elle s’est déjà évanouie parmi la foule. Tu continues pourtant de la chercher dans toutes les directions. Bien que quelque chose au fond de toi sait que tu ne la reverras jamais. Quelque chose se fane en toi. Petit bourgeon d’espoir fauché à sa naissance. Paix à son âme.


« I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes »

Rouge comme le sang. Vision cauchemardesque. Toujours la même scène à laquelle tu n’aurais jamais dû assister. Celle que tu retournes encore et encore dans ta tête, celle qui envahit tes songes. Comme un mauvais arrière goût qui reste trop longtemps. Contrairement à ce que tu souhaiterais, tu t’en souviens bien trop clairement. Pourtant ça remonte à une dizaine d’années. Tu te rappelles avoir été réveillé au milieu de la nuit par le froid. T’avais beau tenter d’te retourner encore et encore sous ta maigre couette, la chaleur ne semblait pas vouloir pointer son nez. Les rayons lunaires, seule source de lumière, traversaient le rideau pour se projeter au sol. Quelques temps plus tard, un bruit inhabituel attira ton attention. Du haut de tes dix petites années, poussé par cette curiosité enfantine, tu finis par te lever. Drapée dans ta couverture carmin. Funeste présage à la scène qui va se dérouler. Les pas font échos contre les dalles de pierres. Tu traverses les longs couloirs à peine éclairés par les étoiles de la nuit. La poitrine oppressé par cette lourde atmosphère. C’est la peur, ce monstre vengeur. T’es tenté de faire demi-tour. Avant qu’il ne soit trop tard. Avant qu’un véritable être maléfique ne surgisse de la pénombre. Avant que ton monde ne s’écroule. Ah si seulement tu l’avais fait. Tu n’aurais pas tous ces regrets. Mais t’as serré les dents et les poings. T’as pris ton courage à deux mains, pour affronter ton grand destin. T’as fermé les yeux sur tous ce qu’il y avait d’angoissant. Les craquements, les grincement, les chuintement, les clapotement, les claquement, les crépitements, les froissements, les gémissements, les sifflements, les tintements... Tous ces signaux alarmants. Tout ce qui t’indiquais, à grands renforts, de t’arrêter, de cesser de vouloir continuer, de vouloir savoir. Tu aurais dû retourner parmi la chaleur de ton lit, dormir du sommeil naïf de l’enfant, bercé par quelques jolis rêves charmants. Jamais tu n’aurais dû pousser cette porte. Laisser ta curiosité prendre le pas sur ta raison. Elle s’est pourtant ouverte sur ce qui deviendra ton plus grand tourment. Cet évènement des plus traumatisant. Ce qui te poursuivra au creux de ton sommeil, jusqu’à la fin de ta vie. Il y avait d’abord ton père. Grand homme tout auréolé d’obscurité. Noble français à la lignée pure. Crétin fini qui a fière allure. Tout nimbant d’un certain mauvais augure. En contrebas, c’est une autre silhouette. Tordue et se tordant, disloquée, disproportionnée, méconnaissable. C’est l’éclat de ses cheveux de jais et celui d’un regard perdu. C’est peut-être toute l’horreur de la situation. L’instant même de la réalisation. Tu recules devant ce spectacle horrifiant de ta propre mère en sang. Tout tremblant, tu trébuches, quelque chose tombe avec fracas. Déclarant ta présence aussi sûrement que le cri que t’avais vainement étouffé. Lueur meurtrière détournée vers toi. Baguette levée bientôt pointé sur ton frêle corps. Et toujours cette même lumière verte aveuglante. Symbole de l’absolution. La Grande Faucheuse qui serait venu te cueillir. Et y’a toujours ce sang. Ces cascades de carmin, ces nuées écarlates venant de nul part. Tout un océan. Tu t’y noies, t’y suffoques lentement. Tu te réveilles alors en sursaut. La sueur au creux de ton front. Le cœur battant à cent à l’heure. Le corps tremblant de malheur. Bien en sécurité, dans ta demeure à Londres. Tout est toujours disproportionné, exacerbé, exagéré. Ça s’éloigne de la réalité. Et chaque fois, c’est de pire en pire. Tu t’enfonces dans une nouvelle dimension. Univers parallèle où copulent dans la nuit l’horreur et le blasphème. Ton père battait ta mère, comme n’importe quel moldu alcoolique. Comme le premier connard venu. Un jour, tu les as vu. Le lendemain vous étiez partis. La capitale britannique, pour une nouvelle vie. C’est bien la première et la dernière fois que ta mère s’est élevé envers et contre une quelconque forme d’autorité. Ta mère l’ex-rebelle, celle qui s’était enfouie du foyer familial pour jouer dans un groupe de punk underground. Sa fougue avait fait fureur, mais le scandale était infernal. Une honte qu’elle ait finit par céder. Qu’elle ait accepté de se ranger. D’épouser un noble français. D’abandonner toute sa liberté. Voyez où cela a pu la mener. Destin tragique que tu veux à tout prix éviter.


« U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides
Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux »

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« O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silence traversés des Mondes et des Anges :
- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! - »

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Dernière édition par Absinthe C. de Valmont le Dim 9 Déc - 11:41, édité 21 fois
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D. Franky Ariel Hemingway

D. Franky Ariel Hemingway

YELLOW QUEEN ▽ admin

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▽ date d'inscription   : 06/08/2012
▽ tweets   : 918
▽ âge du personnage   : seize ans
▽ année/métier   : sixième année
▽ clubs/associations   : Co-Présidente de la Mafia, aight, psychologue de la Gay League (n'interviens que si Phoenix vous a traumatisé.), membre du club des hauts statuts de Poudlard.

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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 8:26

Bienvenue parmi nous, officiellement !
Mon dieu, je suis juste genre... amoureuse du début de ta présentation, j'ai hâte de lire la suite :brille: ! Si tu as des questions, tussah, tu sais où nous trouver hein :cute:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 8:26

Magnifique. :brille: Putain, mais magnifique quoi ! :cute:
Déjà, tu as bien fait de prendre ton personnage poète maudit. Je le trouve beaucoup plus pertinent et original que l'autre, bien que l'idée était swagg aussi. :fufuu:
Et puis merde… Comment tu écris. Le kit de ton personnage. Ses prénoms et noms. :kalin:
JE SUIS GRAVE AMOUREUX LÀ. JE TE DEMANDE EN MARIAGE ILLICO PRESTO ! :arcenciel:

Putain, non mais sérieux. J'aime, j'adore, j'adhère, j'te fais l'amour. :mouton:
PARCE QU'EN PLUS T'ES NOTRE 50EME MEMBRE ? NON MAIS PRIX (NOBEL) SPÉCIAAAAL ! :ole:

Hamish, Garrett et moi sont complètement in love là.
Ça y est, on peut mourir en paix. :cute:

Bref.

VERY OELCOME PARMI NOUS, PETIT LAMA ! :arcenciel: :ole: :kalin: :fufuu: :héhé:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 9:08

FRANKY — Han merci, c'gentil ça, j'tâcherai d'continuer sur ma lancée pour pas t'décevoir alors :*-*: et je n'hésiterais pas à venir vous harceler pour d'éventuelles questions alors *PAN* :fiesta:
SIMBAHAN OUI, VIENS ON PREND L'PREMIER BILLET POUR LAS VEGAS, bébé Merci bien en tout cas, j'suis ravi qu'mon petit Absinthe t'plaise autant quoi What a Face Mais genre meurt pas tout d'suite quoi, j'veux des bébés d'abord -out- :red:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 9:20

WOUAAAAAAAH *O*

Bienvenuuuuuuuuuuuuuue :ole: :calin:
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Loreleï Grimm

Loreleï Grimm


▽ date d'inscription   : 25/08/2012
▽ tweets   : 365
▽ âge du personnage   : 17
▽ année/métier   : Septième année
▽ clubs/associations   : Rédac' Chef de la Chouette Fêlée - Batteuse - Dealeuse pour la mafia

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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 11:36

Je ... je ... je ... TU ES MON DIEU (je l'ai déjà dit, non ?)
Bienvenue mille fois !

Un lien s'imposera, je crois ! xD
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http://iwishiwasapoet.tumblr.com/

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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 12:01

Le personnage a l'air super intéressant. :*-*: Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche ! I love you :brille:
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Luka A. Aylen

Luka A. Aylen


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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 12:41

OMFG OMFG OMFG OMGAAAAAD ! :arcenciel:

Ahem...Faut que j'arrête. BREF ! J'adore déjà, un personnage trop classe dès le départ, réunion de mes dieux dans la vie dans un personnage sur Fiz' quoi ! On fait des bébés ? :red: Ahem. Non mais t'as pas le choix en fait, je te fais pleins de bébés & on aura un lien qui roxxe sa maman en string léopard. BISOUS ! *out* Et je veuuuux la suite :bong:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 13:02

Bienvenue parmi nous ! I love you
J'aime beaucoup ta présentation, c'est superbe, j'ai hâte d'en savoir plus :*-*:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 13:22

X-O Simba Hamish Neruda a écrit:
Et puis merde… Comment tu écris. Le kit de ton personnage. Ses prénoms et noms. :kalin:
JE SUIS GRAVE AMOUREUX LÀ. JE TE DEMANDE EN MARIAGE ILLICO PRESTO ! :arcenciel:

GENRE MON DEMI BRO IL LIT MES PENSEES. Les licornes blond pétasses s'assemblent; :siffle:

NON MAIS OMG CE PERSO ! Tu vas tout tuer toi j'le sens j'te kiffe déjà :cute: BIENVENUE ! Jtobez très fort. :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan: :fuckstan:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 13:31

C'est que j'aurais presque la pression pour la suite d'ma fiche avec tout ça, moi What a Face
JEZABEL — Merci pour ce commentaire constructif :brille:
LORELEÏ — Han oui, vénère-moi, t'auras un traitement d'faveur plus tard *PAN*
ALISTAIR — Merci bien :*-*:
LUKA — Oh mais je n'vais pas refuser une proposition aussi alléchante voyons, repeuplons la planète avec notre descendance roxxor :red: -out- et ce sera avec plaisir pour le lien
JONATHAN — Merci /o/ J'essaie d'faire ça bientôt :fiesta:
STANLEY — J'ai toujours rêvé d'avoir deux frères, tiens -out- J'TE BAISE AUSSI :fuckstan:


Dernière édition par Absinthe C. de Sartre le Sam 8 Sep - 13:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 13:32

Hé ben bienvenue et même que Absinthe quoi, et puis même que, que, tu sais quoi, ben je t'aime et j'ai trop une idée de lien swaggy avec Ruru et :brille:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 13:36

Je sais que mon commentaire était super constructif, j'allais te demander de m'épouser ou encore de faire des bébés, mais bon comme je demande ça souvent j'ai voulu abréger ;P :dinosaur:

Enfin breeeeeeeeeeef, je t'aime déjà beaucoup de la mort qui tue :arcenciel:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 14:48

Absinthe C. de Sartre a écrit:

SIMBAHAN OUI, VIENS ON PREND L'PREMIER BILLET POUR LAS VEGAS, bébé Merci bien en tout cas, j'suis ravi qu'mon petit Absinthe t'plaise autant quoi What a Face Mais genre meurt pas tout d'suite quoi, j'veux des bébés d'abord -out- :red:
LAS VEGAS TO THE DREAM, DUDE ! :ole:
En plus ton titre de fiche quoi… Puis Sartre, ça me fait penser également au grand peintre, André Del Sartre ! :kalin: Bref. T'es un mec cultivé, et j'te kiffe. :fufuu:
Absinthe C. de Sartre a écrit:

STANLEY — J'ai toujours rêvé d'avoir deux frères, tiens -out- J'TE BAISE AUSSI :fuckstan:
Haha, partouze incestueuse ? :mdr: Azy, on est un peu crazy dans la famille, alors c'est quand tu veux. :héhé:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 16:31

Citation :
Absinthe admire beaucoup Frédéric Chopin, Duke Ellington, Jimi Hendrix et Kurt Cobain
Je suppose que c'est à ce moment que je dois te sauter dessus, te demander si tu veux bien te marier avec moi et avoir un léopard qui s'appellera Brad ? Et puis en plus t'arrives pile quand je viens de finir un recueil de Rimbaud et que je chiale encore à en noyer ma grand-mère. Bref : bienvenue, bonne chance pour ta fiche et tout ça tout ça :red:.
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptySam 8 Sep - 16:35

PARTOUZE INCESTUEUUUUUUUUUUUUUUSE :fuckstan:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyDim 9 Sep - 7:57

Mon dieu, mais vous êtes une véritable incitation à la polygamie :*-*:

AUSTIN — Merci :mouton:et envoie ton idée par mp :red: :brille:
JÉZABEL — Tout s'explique alors et j'viendrais t'faire des enfants avec plaisir une fois validé, ma jolie :mg:
SIMBA — Arrêtez d'me tenter, roh :fuckstan: j'ai assez d'mal comme ça :siffle:
EDEN — Si ce n'est pas Jézus en personne :brille: pis j'suis allé voir ta fiche, t'as de trop bons goûts musicaux quoi :red: j'te garde une place vip dans mon lit, avec c'cher Brad :héhé: :fuckstan:
STANLEY — HAN OUI :fuckstan: :red:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyDim 9 Sep - 10:07

MYBODYNEEDSYOU :bave: :red: :red: :red: :fuckstan:

Okay j'ai un faible pour les poètes maudits, et sérieux tu m'as conquis là. Et français quoi :brille:

Bienvenuuuue & bon courage pour ta fiche que je vais suivre attentivement :kalin:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyDim 9 Sep - 12:19

*Mode Abraxas on*
Nan mais c'est quoi ça :o tu débarques et tout le monde est à tes pieds :boude: j'aime pas ça, trop de concurrence tue la concurrence et puis là c'est plus de la concurrence pure et parfaite :mg: c'est déloyal, je proteste !! Et pas touche à l'autre serdy blondinet qui veut faire ... des incestes :siffle: sinon ben tu meurs et pas touche à Adrian sinon ben tu remeurs :mg: Comme le dirait si bien Rimbaud : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d'hommes. » Je sens qu'on va bien rire nous deux :mg:
*Mode Abraxas off*

Sur ce, j'adore ton perso :red: et bienvenue sur le fofo :fuckstan: et hâte de voir la suite de ta fiche :héhé:
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Rudy Jazz-King

Rudy Jazz-King

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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyDim 9 Sep - 17:26

C'est quoi cette idée de lien azy ? :red: Je le sens mal :boude:

Sinon bienvenue of course ! Notre cinquantième membre, t'as bien fait de nous rejoindre What a Face Ton perso a déjà l'air incroyable, tout comme ton début de fiche, donc je me contenterai de faire comme les autres et d'attendre patiemment la suite. :brille:

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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyDim 9 Sep - 18:42

Mon Ruru d'amour t'as trop raison de mal le sentir mais il faut trop qu'on mette de l'ambiance dans notre futur couple tu vois, genre on va foutre le bordel partout et au final on sera les seuls heureux :kalin:

J'envoie le MP What a Face I love you
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Phoenix N. Hemingway

Phoenix N. Hemingway


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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyDim 9 Sep - 19:15

J'ai la flemme de lire ce que les autres ont écrit donc je dirais juste un gros BIENVENUE :mouton:
toi qui me fait déjà chavirer de bonheur, charmant jeune homme avec qui j'ai envie de passer des heures :bave: (okay bon, d'accord, j'ai arrêté la poésie au CP)
J'ai très beaucoup hâte de voir toi jouer parmi nous, et comme tu peux le voir, j'aurais besoin de quelques cours de français, tu veux bien qu'on fasse ça... un soir... dans un coin sombre :héhé:
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Loreleï Grimm

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▽ clubs/associations   : Rédac' Chef de la Chouette Fêlée - Batteuse - Dealeuse pour la mafia

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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyLun 10 Sep - 17:30

HEHO. IL EST A MOI ! TOUT LE MONDE SE TAIT, C'EST MON DIEU !
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES EmptyMar 11 Sep - 23:26

non mais ça y est. rien qu'avec le peu de blabla qu'il y a, je suis amoureuse... :*-*:
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MessageSujet: Re: ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES   ▽ L'ENFER, C'EST LES AUTRES Empty

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