Sujet: La morsure du serpent [Feat Stan] Ven 7 Sep - 6:03
La morsure du serpent
Ft. Stan & Abraxas
Assis sur mon lit, je tenais sur mes genoux ce que j'avais appelé mon journal intime. Dedans j'aimais y mettre ce que je faisais mais pas que. On pouvait y trouver certaines de mes réflexion ainsi que des parties de mes plans et de mes futures victimes. Victimes dans le sens personne à convertir vers le mal et non à tuer. Je ne pouvais pas me permettre de comettre un tel acte pour l'instant. Je disais bien pour l'instant car un jour, je savais que j'allai devoir tuer. Pourquoi allais-je tuer ? Peut-être à cause de personne fouineuse ou bien parce que je voulais suivre les trace de Voldemort en faisant des horcruxes. Il avait bien réussit à en faire. Pourquoi pas moi après tout ? Mais pour l'instant, je me trouve entre les quatre murs de ma salle commune et j'écrivais une de mes plus belles réflexions sur l'échec qui avait conduit la perte de Grindelwald et de Voldemort. D'après ce que j'avais pu lire dans les livres de la réserve, mes conclusions se ramenèrent, à peu près, à deux points : le manque de prudence et les choix de sélection. Grindelwald pensait qu'en possédant la baguette de Sureau, personne ne pourrait le vaincre. Or il avait tort vu que Dumbledore l'avait terrassé. Il n'avait pas pris assez de prudence dans sa route et maintenant il en était mort. Tandis que pour le Lord, lui, cela venait du fait de ces choix de sélections. J'appelais "choix de sélections" le fait qu'il n'aimait pas les moldus ou bien la guerre entre les serpentards et les gryffondors. Moi j'allai agir autrement : prudence serait le mot maître et les maisons ainsi que le sang, je m'en fouttais. Un poufsouffle pouvait très bien m'aider à certaines tâches après tout. La fin justifiait les moyens comme on disait.
[size]M[/size]a plume venait de finir d'écrire le dernier mot que j'avais en tête et que je voulais mettre sur mon journal intime. Je posai alors celle-ci sur ma table de chevet et fermai mon journal en le scellant par un sort avec un mot de passe. Je préférais être prudent car même chez les serpentards, je n'avais pas confiance, sauf en Adrian, bien évidemment. Mettant mon cahier dans le tiroir de mon chevet, je me levai de mon lit er jetai un rapide coup d'oeil autour de moi. Le vide m'entourait : il n'y avait pas âme qui semblait être présente à part la mienne. Au moins, je n'allai pas être dérangé mais sauf quand regardant l'heure, je vis que la nuit devait allait tomber et qu'il était temps pour moi de me rendre dans la Grande Salle pour prendre le dernier repas de la journée. Me dirigeant alors vers le hall, je croisais, sur mon chemin, quelques connaissances auxquelles je fis un sourire à chaque fois. Pourquoi utiliser sa salive pour dire bonjour alors qu'un simple sourire pouvait combler les gens ? Moi je prenais toujours le plus simple alors un sourire suffisait. Pendant le repas, je mangeais sans dire aucun mot. Je n'avais rien à dire donc je préférais me taire et réfléchir un peu. Ce qu'on eut à manger fut potable pour une fois. Oui je n'étais guère fan de l'allimentation à Poudlard et je le faisais savoir parfois. Certains serpentars se levèrent de table, je fis donc de même et je rejoignais directement ma salle commune. Arrivant dedans, je pris la direction des dortoirs des garçons et pris mon long blouson qui ressemblait à une cape avec un capuchon noir. Cela faisait mange noir mais j'aimais ça et parfois je me promenais comme ça dans le parc en me fouttant du regard des autres. La plupart que je croisais venaient de découvrir la magie alors. Arrivant dans la pièce principale, mon chemin croisait celui d'un autre serpentard/ Qu'est-ce que ça me voulait encore ? C'était juste pour me demander ce que je comptais faire. Ma réponse ne se fit pas attendre. « Si on te pose la question, tu diras que tu n'en sais rien. Ok ? Merci tu seras un amour ... » Ou pas pensais-je dans ma tête. Ce n'était qu'un sombre crétin qui méritait un doloris pour m'avoir poser une telle question. Enfin bref, ma destination ne pouvait qu'un endroit maintenant : la tour d'astronomie. Pourquoi cet endroit et pas les autres ? J'avais la sensation de pouvoir avec la hauteur qu'elle procurrait et puis peu de gens y allait à cette heure-ci aussi. Sortant des cachots, je me dirigeais vers cette tour...
Il me fallut plusieurs minutes pour arriver jusqu'en haut de la tour d'astronomie. Déjà que ces esclaiers en faisaient qu'à leur tête, je fis ralenti pas un petit groupe de jeune serdaigle qui ne savait plus ou ils étaient. Les pauvres, j'allais pas les plaindre non plus ! La lumière de la lune éclarait la plate forme d'astronomie et je m'avançai vers l'un de ces bords. Bien évidemment, je m'appuyais sur les remparts qui protégaient pour pas qu'un élève débiles ne tombent. Le vent commençait à souffler et je mis mon capuchon sur ma tête pour m'en protéger le visage. Pas un seul nuage ne semblait être visible à l'oeil nu dans le ciel. Les étoiles scintillaient et la lune était pleine. Au loin, on pouvait mettre entendre le bruit des hurlements de loups-garou avec le vent. Ce fut alors qu'un bruit attira mon attention, toute mon attention même. Une personne se trouvait derrière moi. Et à l'odeur de ce parfum, je reconnus de suite qui s'était. « L'aigle serait-il venu apprendre à voler ? Je pense qu'il était tard pour des leçons de vol, n'est-ce pas Stan ? Que fais-tu ici alors ? Et ne me baraguine pas une excuse bidon, tu ne sais pas mentir ! » Mon regard ne changea pas de trajectoire : toujours fixé sur une pièce éclairée. Tandis que ma main, elle, se trouvait sous mon blouson ou plutôt ma cape, prêt à utiliser la baguette au cas où. Stan semblait être une personne pourtant pleins de resouurces et pourtant, il m'embêtait. Pourquoi ? Sûrement à cause du fait que je l'avais lâché lors de notre exposé. Pas de ma faute si c'était un imcompétant, mais un imcompétant plutôt joli ...
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